Mon premier amour - Histoires de Sexe

Mon premier amour

... téléphone et me dit de ne pas hésiter à l’appeler.

Durant les vacances, je lui envoie un SMS, l’invitant pour la revoir, auquel elle répond positivement. Nous fixons un lieu et un horaire. Je suis excité, allons-nous conclure ou bien en profitera-t-elle pour me dire que nous ne devons pas aller plus loin ? Je suis nerveux, mais la voir estompe ma nervosité.

Le rendez-vous est merveilleux, mais empli de non-dits. Je prends mon courage à deux mains et lui dit que je n’ai pas arrêté de penser à elle, qu’elle m’a manquée et que je l’aime toujours autant. Et je l’embrasse tendrement. Elle ne repousse pas, et nous nous embrassons tendrement, dans un café, entre Noël et le jour de l’an. Elle me dit que nous faisons une folie, qu’elle ne devrait pas, mais que mes mots l’ont touchée et qu’elle veut tenter le diable.

Je lui propose de venir chez moi, pour échapper aux regards indiscrets, ce qu’elle accepte.

Une fois chez moi, nos baisers deviennent plus intenses. Pour mon plus grand plaisir, elle est de nouveau vêtue de son pantalon de cuir noir et de son chemisier rouge. Je passe mes mains sur son corps, tout en l’embrassant. J’ai une érection formidable. Elle s’agenouille face à moi et dévoile mon sexe pour le sucer. La femme que j’aime, qui plus est ma prof, est en train de me combler de bonheur. Je n’ai qu’une envie, la déshabiller et embrasser son sexe.

Après cette belle fellation qui m’a fait jouir ...

... une belle quantité de sperme, je retire son pantalon de cuir allongé sur mon lit et commence un cunnilingus. Elle halète rapidement, positionnant sa main sur le haut de mon crâne. Ma langue fouille son intimité, je bois sa cyprine. Elle est totalement détendue et est le moment que je choisis pour la pénétrer.

Je place mon gland à l’entrée de sa caverne humide. Je pousse un grand coup pour m’y introduire entièrement. Elle accroche ses mains à mes reins et me demande de la prendre fort. Ce à quoi je m’emploie. Elle jouit magnifiquement. Ses cris de jouissance emplissent mon appartement. Je suis heureux, dans les bras de la femme que j’aime et le tabou et l’interdit augmente notre désir emplissent notre excitation. Après plusieurs minutes, elle me demande de la sodomiser. Surpris et penaud, je lui avoue que je ne l’ai jamais fait. Elle me dit qu’elle est habituée et va me guider. Interloqué, je me laisse totalement faire. Elle lubrifie ma queue, la positionne sur son anus, et m’ordonne de la prendre.

Je m’exécute et je prends un pied fantastique. Son anus serré me comble. Je n’en reviens pas, je sodomise ma prof. Ce qui n’était qu’un fantasme il y a encore quelques jours et devenu réalité. Elle jouit bruyamment jusqu’à ce que j’éjacule dans son cul.

Une fois cette partie de baise finie, nous nous blottissons l’un contre l’autre. Je l’aime terriblement et le lui dit.

Notre amour ne fait que commencer.