La sortie paddle
Datte: 19/07/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
plage,
sport,
massage,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Conteurreveur, Source: Revebebe
Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, je suis Julien, beau brun athlétique, 1,80 m pour 75 kilos, très bien éduqué et cultivé, j’ai plutôt une attitude de gentleman séducteur. J’ai cependant mis du temps à percevoir et maîtriser mon charme, ce qui m’a valu une sexualité et une vie amoureuse plutôt calme et réservée dans ma jeunesse. Les années ont passé et me voici plutôt hédoniste et entreprenant.
Margaux est une amie de ma femme de longue date. Grande, cheveux lisses châtain clair très longs et de beaux yeux marron. Ses deux grossesses ont renforcé sa silhouette de femme épanouie avec une poitrine plus volumineuse et lourde, des hanches plus larges et un petit peu de ventre. Elle reste très désirable et son petit côté « bourge » la rend même excitante dans un cadre fantasme.
Margaux a reçu unstand up paddle pour ses quarante ans. Étant adepte de ce sport, son mari m’avait appelé pour choisir le bon modèle, adapté à sa pratique fitness et son gabarit. Mais comme bon nombre de bonnes résolutions, lestand up est resté dans son sac.
Nous habitons en baie de La Baule et je trouvais vraiment dommage que Margaux ne profite pas de son paddle pour se balader le long de la plage et de la côte sauvage. Je l’ai motivée pour qu’elle m’accompagne, s’implique et s’investisse et découvre réellement ce qu’est ce sport. Après un peu de pratique, elle a bien progressé et m’est reconnaissante de l’avoir « boostée ».
Notre histoire commence ici.
— Salut Margaux comment ...
... vas-tu ?
— Bien et toi ? Tu profites du beau temps ?
— Oui, justement, je voulais te proposer une sortie aux Evens (petite île face à La Baule) entre midi et deux si tu n’as pas de rendez-vous.
— Ah, c’est tentant, mais ce n’est pas un peu loin ? Tu penses que j’ai le niveau ?
— Oui, aucun problème, la mer est d’huile, le vent absent, on va y aller très cool en papotant, on fait une pause boisson/biscuit sur place et on rentre tout aussi cool. À 14 h, tu es au bureau.
— OK, tu m’as convaincue, limite le midi, c’est plus simple, je n’ai pas les enfants à gérer.
Nous voici partis en direction de la petite île. Le temps est idyllique et les paddles glissent tout seuls sur l’eau. La discussion s’engage très librement. J’ai beau connaître Margaux depuis plus de vingt-cinq ans, je m’aperçois que je la connais assez peu finalement et surtout très peu intimement. Surtout il y a une chose qui me fait sourire, Margaux a des lunettes très fumées, mais pas complètement opaques et je la grille plusieurs fois en train de me mater sans vergogne. J’ai l’impression qu’elle fait une fixette sur mes tablettes de chocolat. Je ne la voyais pas sous cet angle-là.
Après quarante-cinq minutes d’effort, nous arrivons sur la petite île, déserte en ce milieu de semaine. L’eau est transparente, nous sommes luisants de transpiration et un bain rafraîchissant nous fait le plus grand bien.
— Waouh, c’est le top. Cela fait des années que je vis ici, et c’est la première fois que je mets un pied ...