Au sauna libertin avec une collègue
Datte: 18/07/2023,
Catégories:
grp,
Collègues / Travail
grossexe,
grosseins,
sauna,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
lieusexe,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... ses formes abondantes et généreusement étalées. Tous les quatre étaient des habitués et firent en sorte que les « bizuths » se sentent à l’aise.
— Ici, chacun fait ce qu’il veut en toute liberté. Personne n’est obligé de faire l’amour… même s’il est difficile de ne pas succomber, gloussa Viviane.
Puis chacun gagna le vestiaire. Bernard en sortit avec une serviette autour de la taille et Agnès avec une sorte de paréo tenu par son opulente poitrine.
— Par quoi on commence ? demanda-t-elle à Bernard.
— On pourrait essayer le hammam.
L’endroit était bien entendu brumeux. Deux couples étaient présents, visiblement en plein préliminaires. Agnès détourna les yeux, tout entière concentrée sur la chaleur humide qui envahissait son corps, qu’elle avait délesté du paréo. Bernard, nu lui aussi, jeta un œil sur la plastique de sa collègue :
« Bon Dieu, quels nichons ! » se dit-ilin petto. Il nota aussi l’abondance de son pubis brun, plutôt indiscipliné, le bas de son abdomen légèrement bombé et la densité de ses cuisses. De son côté, Agnès remarqua la longueur du pénis de Bernard et la grosseur presque disproportionnée de son gland, ce qui suscita de sa part cette réflexion :« Il est drôlement bien monté, le collègue, je serais curieuse de voir ce que ça donne quand il bande ».
Puis le couple de circonstances décida de se rendre à la piscine, déjà bien peuplée. Ils reconnurent les deux couples rencontrés à leur entrée, cette fois entièrement nus. Assise sur le bord, ...
... Corinne offrait sa vulve à un homme qui n’était pas son mari et qui, debout dans l’eau, la dégustait de la langue avec passion. Elle n’en adressa pas moins un grand sourire aux nouveaux venus qui, eux aussi, firent tomber la serviette. Quand Agnès apparut nue, elle sentit se diriger vers elle plusieurs regards mâles (à l’exception du lécheur) dont elle perçut la concupiscence immédiate. Il est vrai que son buste à la fois lourd et bien suspendu, son pubis foisonnant et son fessier joufflu, à la raie longue et profonde, constituaient en ce lieu un véritable appel au sexe.
Elle se dépêcha d’entrer dans l’onde pour dissiper le trouble qui venait de la gagner. Bernard se joignit à elle, comme pour dissuader toute approche masculine. Adossés au mur de la piscine, ils purent alors observer ce qui s’y passait. Il ne s’y produisait pas d’accouplements à proprement parler, mais des flirts poussés, des caresses, des embrassades, des contacts, tels Michel et Viviane, laquelle était à l’évidence masturbée sous l’eau par son compagnon. Les gémissements de Corinne, sous l’effet de la langue de son lécheur, constituaient le fond sonore. Son mari Christophe se contentait d’observer en s’astiquant.« Il se branle en regardant sa femme se faire faire un cunni par un autre type », pensa Bernard.« Eh bien moi, si j’avais une femme comme elle, je ne la laisserais pas se faire lécher par un autre ».
Agnès s’approcha de lui et lui murmura à l’oreille :
— Dis, tu as vu le panneau, on n’est pas ...