Ma belle-sœur Christine (4)
Datte: 18/07/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: brunov80, Source: Xstory
... glisser à l’intérieur de sa chatte jusqu’au prépuce. Dans un gémissement de lionne, Christine s’est rapidement redressée pour le sortir de la cave interdite.
Voilà mon supplice, elle se pétrissait tout le corps de plus en plus fort, tirait sur ses tétons, attrapait son clito, les maltraitait dans une violence maîtrisée, elle grognait en penchant la tête en arrière.
A plusieurs reprises, ma queue pénétrait sa chatte et ressortait immédiatement, jusqu’au moment où elle n’en pouvait plus et s’empala brutalement sur mon membre et se soulagea les cuisses en se posant littéralement sur mon bassin. J’ai explosé sans aucune maîtrise de mon corps, je sentais mon sperme jaillir en elle par saccade. Son cri m’a laissé penser qu’elle avait aussi eu un début d’orgasme. Elle jeta ses mains de chaque côté de ma tête et releva son bassin jusqu’à faire sortir ma queue. Cette nouvelle position avait eu pour effet d’amener ses seins à mon niveau tout en me permettant de voir le travail au niveau de nos sexes.
J’ai attrapé ses deux seins et je mordillais ses tétons, elle recommença à s’empaler sans délicatesse et à chaque visite de sa caverne, je giclais au plus profond de son ventre.
J’avais le droit à un cri de plus en plus prononcé, elle jouissait au fur et à mesure de mon lâcher de semence. Je n’ai jamais éjaculé autant de fois ...
... de suite, j’avais l’impression que ça ne finirait jamais !
Aux derniers mouvements, j’étais totalement à sec, mais elle en voulait encore, alors elle se redressa de nouveau et tout en continuant ses va-et-vient, elle se branlait littéralement le clito de sa main gauche et un téton de sa main droite. Même si je ne pouvais plus jouir ce spectacle des plus hard imposait à ma queue de rester bandée.
Elle jouissait et jouissait encore jusqu’à s’effondrer sur moi. J’ai eu à ce moment une nouvelle sensation, ce corps à corps véritable était encore nouveau pour moi.
Bien sûr, j’ai pu toucher, palper et caresser son corps, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’être collé ainsi.
Je sentais ses seins s’écraser contre ma poitrine. Je ressentais encore quelques soubresauts que faisait son bassin, qui faisaient vibrer mon sexe toujours en elle. Je sentais le mélange de nos fluides couler entre nos jambes. Ça y est, j’étais dépucelé !
Je l’entourais de mes bras pour lui caresser le dos jusqu’à la raie de ses fesses, je lui passais la main dans les cheveux, elle ronronnait.
Ses seins écrasés débordaient sur les côtés, j’y passais mes mains, quelle douceur !
Elle finit par reprendre ses esprits et se fit rouler sur le côté.
Notre « désemboîtement » me fit lâcher un râle et une cascade de jus s’étalait sur les draps.