Une soubrette bien délurée. (1)
Datte: 18/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: beau gosse 35 ans, Source: Xstory
Inès est boniche chez un couple de bourgeois. Hubert et Olga. Hubert a quarante-huit ans. Il est très séduisant, les cheveux grisonnants, les yeux d’un bleu intense. Olga a quarante-cinq ans, c’est une belle blonde aux yeux verts. Elle entretient parfaitement son corps. Elle s’est fait refaire les seins qu’elle jugeait un peu menus. Elle possède maintenant une superbe paire de nichons avec une taille de 105E.
Ca fait deux ans qu’Inès travaille pour le couple. Si elle juge Hubert très gentil, en revanche, elle trouve Olga très arrogante, très hautaine. En effet, celle-ci ne manque jamais de faire des remarques désagréables sur le travail de son employée.
Un jour, elle demande à Olga une augmentation.
— Vous comprenez Madame, ça fait deux ans que je travaille pour vous et je n’ai pas encore été augmentée...
— Ecoutez Inès, d’une part votre travail n’est pas impeccable. D’autre part, votre salaire est très convenable. Vous n’avez qu’à comparer avec vos collègues. En tout cas, c’est non, et je vous demanderais de ne pas y revenir !
— Bien Madame...
— Quelle radine, se dit-elle.
Le lendemain, Madame part pour la journée. Monsieur reste seul à la maison. Inès décide de tenter sa chance. Elle veut mettre tous les atouts de son côté. Elle a mis une jupe assez courte, moulante. Dessous, un porte-jarretelles noir tient des bas noirs. En haut, un chemisier bien décolleté. Pas de soutien-gorge, pas de culotte. Ses superbes rondeurs sont ainsi bien mises en ...
... valeur. Cette tenue ne déparerait pas dans un bordel. Inès est une fille qui aime le sexe et coucher pour obtenir une augmentation n’est pas pour elle un problème.
C’est ainsi qu’elle fait les poussières au salon pendant que Monsieur lit son journal sur le canapé. Elle n’hésite pas à bien se trémousser pour attirer l’œil de son patron.
Et ça marche ! Inès jette de brefs coups d’œil sur la braguette de son patron qui enfle doucement. Elle juge le moment opportun...
— Je peux vous parler, Monsieur ?
— Bien sûr Inès, dites-moi...
Hubert ne peut détacher son regard du chemisier bien rempli de sa bonniche.
— Eh bien, Monsieur, ça fait deux ans que je travaille pour vous et je pense m’acquitter correctement de ma tâche. Je pense donc mériter une augmentation.
— Pour ma part, je suis content de vous. Mais vous en avez parlé à Madame ?
— Oui Monsieur, et elle m’a rembarrée assez sèchement !
— Ma femme est parfois un peu vive, c’est vrai... Mais c’est elle qui gère tout ça...
— Oh Monsieur, elle refusera toujours. Mais de votre côté, vous pourriez m’accorder des petites primes...
— Ben... euh... il faut voir...
— Il faut voir quoi, Monsieur ? Il faut voir ça ?
En disant cela, elle relève sa jupe jusqu’à la taille dévoilant sa toison luxuriante... Elle se retourne doucement et se penche en avant montrant un fessier imposant, bien ferme. Entre les deux fesses apparaît un abricot bien charnu et lui, complètement épilé.
Elle se retourne, sa jupe est ...