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Valentine Challenge: sœur et frère (2)
Datte: 17/07/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... l’exception de mes bas et de mes talons aiguille, j’étais nue, le sexe dégoulinant de mouille, tout mon corps enfiévré de désir pour ce mec sur le lit duquel j’étais couchée, et qui était en train de retirer son caleçon. Son corps était splendide, ferme, merveilleusement dessiné. Il m’attirait au-delà de ce que je pouvais exprimer. J’avais envie de lui hurler des mots cochons, mais ils restaient coincés au fond de ma gorge. Sa grosse queue, droite comme une barre, pointait vers mon visage. Matthias ouvrit un tiroir et en sortit une boîte dont il tira un préservatif. J’avais le regard vissé sur son membre alors qu’il le gainait de caoutchouc. Pour une fille, il n’y a rien de plus érotique qu’un homme qui enfile une capote. Cela signifie qu’on est sur le point de se faire défoncer. Il grimpa sur le lit avec moi, en dessus de moi. Il retrouva ma bouche, dont il prit possession. Ses mains se posèrent sur mes seins, en saisirent les pointes, les pincèrent, les malmenèrent jusqu’à ce qu’elles soient dures comme des noyaux de fruits. Je sentais le poids de son corps en dessus de moi, son odeur, son sexe gainé de plastique qui venait frotter contre mon ventre. On s’embrassait, on se caressait, on se voulait. Je chuchotai au creux de son oreille: "Prends-moi", avant de saisir sa queue et de la guider vers l’entrée de mon sexe ruisselant. Son gland se cala entre mes lèvres. Il poussa un peu. Glissa la pointe. J’inspirai très fort. Il entra, très lentement, en moi, ...
... laissant sa queue aller jusqu’au fond. C’était fait. Plus possible de prétendre que rien ne s’était passé désormais. Mon grand frère venait de me pénétrer. Son sexe était dans mon sexe. Tellement en douceur. Tellement bienvenu. J’étais en train de me faire prendre de la manière la plus inattendue, la plus folle et la plus excitante qui soit. Je venais de devenir sa maîtresse incestueuse. Il nous fallut à tous les deux un petit instant pour nous habituer à la réalité de ce que nous étions en train de faire. Il me regarda, de ses beaux yeux, me sourit, écarta une mèche de mon visage. "Olivia..." dit-il. Il ne m’appelait jamais par mon prénom. Le simple fait qu’il le fasse fut à deux doigts de me déclencher un orgasme. Ce fut le dernier moment tendre avant très, très longtemps. Matthias m’avait prise, il se mit alors à me baiser. Il retira sa queue, poussa à nouveau, recula encore, coulissa en moi, de plus en plus vite, jusqu’à trouver un rythme qui nous convient. On y était. Il me pilonnait. Joyeuse St-Valentin. Ça faisait presque trop. Trop de folie. Trop d’envie. Trop de plaisir. Ce qui suivit fut à la fois confus et parfait, terrible et glorieux. Mon frère me prenait sans précaution, chaque coup de reins faisant grincer le sommier. Ses mains saisissaient mes hanches pour qu’il puisse s’enfoncer plus profondément en moi. Les miennes étaient appuyées sur ses fesses pour la même raison. Je criais, je le mordais, je grognais comme une chienne. C’était bon, c’était ...