1. Un professeur, une étudiante... et beaucoup de gourmandises


    Datte: 17/07/2023, Catégories: fh, inconnu, hotel, école, massage, caresses, Oral nopéné, attache, yeuxbandés, confession, occasion, Auteur: Onyx31, Source: Revebebe

    Mardi huit heures trente, j’entre dans l’amphithéâtre aux trois quarts plein. Il doit bien y avoir dans les quatre cents étudiants.
    
    Je savoure cet instant.
    
    En effet, cela fait une dizaine d’années que je n’avais plus enseigné à l’université. J’ai accepté de reprendre du service à la demande d’un ami professeur qui m’a invité à enseigner la réalité ducommunity management dans l’entreprise puisque c’est devenu, aujourd’hui, mon principal business.
    
    J’ai six cours de deux heures à assurer.
    
    Un petit baratin d’introduction et je commence mon cours, enfin, je dirais plutôt monone man show. J’ai toujours considéré qu’un bon enseignant devait captiver et intéresser ses étudiants avant tout. Si cet objectif est atteint, alors ensuite, ils apprendront pourvu que le cours soit clair et bien structuré. La première qualité d’un enseignant est donc, à mon sens, d’être une bête de scène.
    
    Enfin, je ne suis pas là pour vous parler de mes convictions d’enseignant. Non. L’histoire qui nous intéresse débute la semaine suivante.
    
    Avant de commencer mon cours, comme chaque fois, je passe au secrétariat. La secrétaire me donne quelques notes de service et une enveloppe. Intrigué, je la regarde. Rien. Aucun signe distinctif, aucune inscription, bref une enveloppe tout ce qu’il y a de plus banal.
    
    Je l’ouvre donc. Elle contient une feuille de papier au format A4 avec ces quelques mots écrits d’une écriture régulière, certainement tracée avec un stylo plume de marque.
    
    Je demande ...
    ... illico à la secrétaire si elle sait qui a déposé ce courrier. Elle me répond qu’il était dans la boîte aux lettres interne, certainement un étudiant. Ou une étudiante pensai-je en mon for intérieur. Je préférerais de loin faire cet effet-là à une jeune femme plutôt qu’à un jeune homme. Je dois avouer que cette lettre m’a flatté. Pour un jeune quadra comme moi, il est toujours rassurant de savoir que l’on peut toujours séduire une jeune femme d’une vingtaine d’années. Je glisse l’enveloppe dans la poche de mon blaser et me dirige vers l’amphithéâtre.
    
    Je ne peux m’empêcher tout au long du cours de fixer la foule disparate dont je suis le centre d’intérêt, mais surtout, de regarder les étudiantes.
    
    Je fais machinalement ma conférence, mais mon esprit est en ébullition : est-ce cette belle blonde, ou celle-ci à la poitrine largement surdimensionnée par rapport à son soutien-gorge, ou peut-être la petite brune aux cheveux cours et à l’air rebelle ? Ce petit jeu, car c’était un jeu, m’amuse et m’excite.
    
    Je suis impatient, comme vous l’imaginez, d’arriver au cours suivant. Je me dirige donc vers le secrétariat où la secrétaire me remet une nouvelle enveloppe identique à la première. Avant de l’ouvrir, je m’amuse à en deviner le contenu. Qu’est-ce que j’ai bien pu inspirer à cette midinette, ce coup-ci ? Je me délecte de ces quelques mots.
    
    Au moins, le message est sans ambiguïté. Je ne peux m’empêcher de regarder mes mains. C’est vrai que mes amantes m’ont toujours dit que ...
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