Le chat croque la souris.
Datte: 16/07/2023,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
fplusag,
vacances,
bateau,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
jouet,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... traversait une forêt et donnait accès à la plage, enfin à ce qu’il m’a expliqué un amas de rochers. On se retrouverait là, je pourrais nager les quelques mètres qui me sépareraient du bateau. Et là-bas, il me garantissait que le bateau ne bougerait quasiment pas. On pourrait déjeuner et se baigner ensemble.
— Il faut deux bonnes heures. Ne pars pas trop tard pour arriver en même temps que nous. Ah aussi, tiens, (il me tend des jumelles) c’est un coin très sauvage, tu pourrais voir des animaux.
En réalité il ne faut pas deux heures. J’arrive alors que la crique est vide. Un instant je me demande si je ne me suis pas trompé, mais la description qu’il m’a faite correspond bien. C’est juste que je suis en avance.
Depuis le haut de la petite falaise, j’ai une vue magnifique sur l’océan. Je reste là à attendre, l’ombre des arbres et taillis me protège de la chaleur. C’est un coin idyllique.
Je les vois arriver. Ses jumelles me permettent de voir que c’est bien eux. C’est même Agnès qui pilote. À mesure que le bateau avance, je la vois bien, peut-être un peu crispée sur le volant. Elle est nue et les autres aussi. Je n’avais pas pensé que… mais réflexion faite, c’est bien normal… nos hôtes nous avaient bien dit que dès qu’ils pouvaient ils vivaient nus.
La passe me paraît bien étroite pour le bateau. Mais Louis va prendre la barre. Il ne chasse pas Agnès, il s’installe juste derrière elle pour l’aider. La manœuvre se passe bien. Ils entrent dans la crique. Il doit ...
... y avoir une belle profondeur, car ils s’approchent à moins de vingt mètres du rivage. Ils ne sont pas loin pour moi. Je les surplombe. Même à l’œil nu je reconnais leur silhouette. Agnès paraît assez fière de sa manœuvre. Les jumelles me permettent de voir sur son visage une sorte de satisfaction.
Je vais me lever et leur montrer que je suis déjà là. Mais une expression étrange sur le visage de ma femme alors qu’elle tourne la tête vers ceux que je vois sur le pont arrière, m’intrigue.
Louis bande. On le voit nettement. Il bande dur. Je réalise que c’est certainement le contact ou des paroles avec ma femme. Il devait lui faire sentir son désir, collé comme il l’était. Avait-elle réagi ? Protesté ? L’avait-elle provoqué en bougeant de la croupe ? Avait-elle pensé qu’il pouvait la prendre ainsi, juste en fléchissant les jambes, que le volant faisait un appui parfait pour ce genre de positions.
Arrête Julien, tu gamberges ! Tu vois bien qu’il est parti vers sa femme. Ils vont lui faire de coup du couple qui s’exhibe devant d’autres. La pauvre. Décidément ce sont des pervers ! Mais non, je vois la main tendue, je devine les paroles échangées.
Non, il ne faut pas. C’est un piège. Je les connais, moi aussi ils m’ont piégé, hier, et j’ai… Oh mon Dieu, fasse que cela ne se sache jamais.
Agnès ! je vais crier pour lui dire que je suis là et qu’il faut arrêter.
Et puis mon cri s’étrangle dans ma gorge. Je la vois prendre la main, s’asseoir à côté de Laure qui lui ...