J'aime les endroits retirés de la nature - Histoires de Sexe

J'aime les endroits retirés de la nature

Retraité depuis six mois je passe mon temps à me balader, mon coin favori est situé à la sortie du village, je m’arrête souvent sur une colline qui domine la rivière et ses alentours, c’est à la fois un point stratégique et discret, voyant venir les passants éventuels, pour tout dire aucuns ! je m’y fais bronzer en slip, cet après-midi-là allongé au soleil, je suis d’humeur badine, tellement décontracté que mon sexe gonfle dans mon slip sans que je fasse exprès de provoquer l’excroissance, rien non plus pour l’en empêcher ! sans doute dut à mon abstinence prolongée ?

Après tout rien ne m’interdit de passer une main dans ce slip tendu ? je fais le vide dans ma tête et décalotte ma verge faisant émerger le gland au-dessus de la taille, lentement, bien décidé à faire durer le plaisir, je me masturbe les yeux fermés … soudain mon sixième sens m’alerte… je ne suis plus seul ? je stoppe tous mouvements et à travers mes cils j’inspecte les alentours, sans doute un lapin ou autre gibier qui me voyant inoffensif se balade à proximité … rien , personne a l’horizon, je reprends mon ‘activité libératrice’ quand ça recommence , cette fois je perçois des chuchotements, après tout si je gênais ‘on’ m’aurais rappelé à l’ordre, qui que vous soyez vous voulez voir ? hé bien voyez … je passe tout mon matériel par-dessus mon slip, ainsi même mes bourses velues sont visibles, et pour que rien n’empêche la vue j’écarte largement les jambes ! la bite dressée vers le ciel je continue mes caresses ...

... libidineuses

Les murmures deviennent plus audibles, ce n’est pas des voix d’hommes … une femme ? des femmes ? de nouveau j’observe les abords immédiats… là juste devant ‘ça ‘ bouge … ‘ça’ se relève … deux femmes ! je dirais même deux jeuns filles, genre lycéennes, donc en âge de mater une queue raide sans déclencher les foudres de la morale puritaine , progressant à genoux elles semblent hésiter à s’approcher, une blonde et une brune qui semble être très-très complices, sinon elles n’auraient pas la poitrine a l’air et une main qui disparait entre leurs cuisses ouvertes ? qui est l’exhibitionniste qui est le mateur ? je deviens les deux ! pour ne pas les faire fuir je dois leurs confirmer discrètement qu’elle sont découvertes, l’index de ma main libre fait des signes qui veulent dire ‘approchez donc par ici ‘

Elles se regardent, pouffent en étouffant les rires, je crois qu’elles ont pris une décision car je perçois un : ‘on y va ? – tu crois ?- t’as vu l’engin ? – alors on avance … ’

- Bonjour monsieur

- Nous ne vous dérangeons pas ?

- Bonjour mesdemoiselles, pas le moins du monde si toutefois votre décision correspond à la mienne ?

- Vous n’êtes pas un de ces vieux pervers qui abuse de sages petites jeunes filles comme nous ?

- Bien que mon gros fantasme soit de regarder des corps dénudés de jeunes filles je sais me retenir

- Alors nous restons, vous avez une bonne tête de papa gâteaux

- Nous aussi adorons mater des hommes et nous pouvons dire que ...