Panne d'ordinateur (4)
Datte: 15/07/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Faunus, Source: Xstory
En ouvrant la porte de son appartement, Jérôme pensait que la suite risquait d’être chaude. Depuis leur entrée dans l’immeuble François avait eu les mains baladeuses. Sitôt la porte refermée, les sacs avaient chu sur le sol. D’un geste brusque, il s’était retrouvé plaqué au mur. Deux mains autoritaires avaient quasiment arraché les vêtements qu’il portait.
— Ha ! Tu es vraiment magnifique, cela valait vraiment la peine. Bientôt, je te ferais faire une épilation définitive partout.
— Mais je n’en ai pas envie. Je voulais avoir une moustache.
— Hahaha ! Quelle drôle d’idée ! Tu es bien plus mignonne comme ça. Tu ferais mieux de te taire au lieu de me dire des bêtises pareilles.
Tout en parlant, François lui souriait, cependant son regard s’était durci. Le ton de la voix fit frémir Jérôme. En même temps, il sentait les mains aller et venir sur son épiderme fraîchement débarrassé de son système pileux.
— Pourtant, j’en ai le droit... Mmmmm
La bouche de François venait de se poser sur la sienne. Une langue fureteuse venait d’entrer dans sa bouche et en prenait possession. Jérôme était plaqué contre la cloison, le pantalon sur les chevilles et la chemisette complètement ouverte. Même s’il avait voulu résister, il n’aurait pu. Il s’était rapidement rendu compte qu’il n’était pas de taille à le faire. Comparée à celle de François, sa corpulence était visiblement beaucoup plus fine. Bien qu’il ne l’ait jamais vu dénudé, il savait que le jeune homme était musclé. La ...
... langue qui était entrée en force venait de dompter la sienne, il finit par accepter ce baiser. Une main lui caressait les seins et l’autre s’immisçait dans son sillon fessier à la recherche de la petite étoile brune. Il avait été surpris, maintenant il s’abandonnait aux caresses prodiguées. Contre son pubis nu, il sentait le tissu du pantalon. Derrière le vêtement, la protubérance devenait de plus en plus dure. Son petit sexe excité était bloqué dans sa position initiale. Inconsciemment, il remuait ses fesses pour répondre aux sollicitations. Un doigt venait de forcer le passage, l’entrée brutale le fit gémir. Une fois encore il perçut cette domination qui devenait de plus en plus présente. D’un côté, cette idée l’effrayait et d’un autre elle l’excitait. Déjà, il sentait le plaisir gagner du terrain malgré la rudesse de son partenaire.
— Jérôme, tu embrasses bien mieux que je ne l’avais pensé. Oui, tu es la plus douce de toutes les filles que j’ai eue. Tes nichons sont magnifiques.
Entendre son prénom le fit frissonner au point que ses jambes fléchirent.
— Hou là ! Que t’arrive-t-il ma belle ?
— Heu ! c’est la première fois que tu m’as appelé par mon prénom, cela m’a fait tout drôle.
— Tu es émotive, tu rougis facilement, mais tu restes souriante et j’aime ça. Allons dans ta chambre. Montre-moi le chemin.
— Je ne suis pas une fille.
Une main vint pincer sa joue, il se contenta de montrer la porte fermant la pièce. François venait de le soulever comme s’il ...