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Un dimanche mère-fils inoubliable (1)
Datte: 14/07/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Fredhdf, Source: Xstory
Je me prénomme Fred, 43 ans, divorcé et fils unique. Mon père est décédé depuis 5 ans, et ma mère n’envisage pas de se remettre en couple à 65 ans... en tout cas, c’est ce qu’elle affirme. Il est vrai que, même si elle est parfois sollicitée par des hommes, souvent divorcés, sa personnalité est plutôt sérieuse et réservée. Je lui rends visite la plupart des dimanches après-midis sur Lille, et j’avoue que depuis quelques mois, je ressens un sentiment bizarre... une attirance sexuelle vis-à-vis d’elle qui me dérange et me stimule à la fois. Me reviennent alors des images : quand j’étais étudiant, que je revenais le week-end chez mes parents, et qu’elle se coiffait devant un miroir, seins nus, sans m’apercevoir. Ou en culotte et soutien-gorge après la douche, quand nous partions en location à trois, dans une certaine promiscuité. Mais c’était extrêmement rare, car elle était très pudique. Mais surtout... je me souviens de gémissements et de halètements dans la chambre voisine occupée par mes parents, et j’avais du mal à imaginer que ce soit ma mère, si stricte. Ces bruits de jouissance avaient pour effet de faire durcir mon sexe, moi qui étais encore vierge à 19 ans, et je découvrais alors le plaisir d’une masturbation intense, qui se terminait par un jet puissant sous mes draps. Il m’arrivait aussi parfois de me lever de mon lit, et d’aller poser l’oreille contre la porte de mes parents pour mieux entendre, la queue durcie et dressée par l’excitation. Moi ...
... aussi j’aurais voulu satisfaire maman. Aujourd’hui, ma mère se porte encore très correctement, aucune rondeur... et des formes auxquelles je ne suis pas insensible, avec une poitrine toujours ferme et de volume normal... en tout cas, c’est ce que je crois. Bref, je vais vous raconter ce qui s’est produit le premier dimanche d’octobre dernier. Je sonne chez maman, qui m’ouvre, toute jolie, car étant allée chez le coiffeur la semaine précédente. Aucun cheveu gris apparent, étant teinte en rousse, sa couleur naturelle d’origine. Elle porte un chemisier blanc, légèrement transparent, qui laisse deviner la dentelle de son soutien-gorge. Toujours très raffinée, assez classe. Son haut s’accompagne d’une jupe plissée noire, qui s’arrête au niveau des genoux. Nous nous asseyons face à face dans le salon, comme toujours. Elle me sert un café et une pâtisserie. Elle m’annonce qu’elle a acheté de nouvelles chaussures, et je lui demande de les essayer devant moi pour lui faire plaisir. Elle s’exécute, et je me lève pour voir ses pieds ainsi chaussés, la félicitant pour son choix. C’est alors que sa serviette de table tombe malencontreusement à terre, qu’elle se baisse pour la ramasser devant moi, et qu’elle me dévoile sans le vouloir une partie intime de son corps en écartant les jambes. Je pensais qu’elle portait des collants, mais ce sont en fait des bas de couleur chair, qui me permettent d’apercevoir le haut de ses cuisses et une parcelle du tissu blanc de sa petite ...