1. Belle surprise pour moi en achetant des chaussures


    Datte: 13/07/2023, Catégories: fh, couple, cadeau, inconnu, magasin, parking, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nopéné, Auteur: Luciano69, Source: Revebebe

    ... la vendeuse me tendit l’autre pointure en prenant soin de la délacer avant.
    
    Mince, s’était-elle rendu compte de la situation ? Je n’allais pu pouvoir profiter de l’échancrure de son chemisier. Zut…
    
    Évidemment, cette nouvelle pointure m’allait parfaitement. Ma femme me dit :
    
    — Fais quelques pas pour être sûr que tu n’aies pas mal en marchant.
    
    Aïe aïe, il fallait que je me lève. Je fis dépasser complètement mon tee-shirt au-dessus de mon short.
    
    La nature est bien faite, mon érection n’était plus aussi évidente. Je pus faire quelques pas et tout allait bien… pour la chaussure. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de chercher le regard de la vendeuse pour lui demander son avis.
    
    — Vous êtes bien dedans ? Elles ne sont pas trop grandes ? Attendez, je vais vérifier.
    
    Et elle vint près de moi, s’accroupit en prennent bien soin de serrer ses jambes sur le côté très élégamment, mais à nouveau, lorsqu’elle vérifia la bonne pointure des chaussures en appliquant son pouce sur le bout pour apprécier l’espace que mon pied laissait à l’intérieur, j’eus le temps à nouveau, pendant quelques secondes d’apercevoir ses petits seins fiers et arrogants qui semblaient être heureux de se sentir libres sous ce chemisier. J’avais le sentiment qu’ils me narguaient…
    
    Elle croisa mon regard et immédiatement, elle eut le réflexe de cacher son échancrure avec sa main. Mais toujours très pro me dit, avec un léger sourire :
    
    — Je pense que c’est la bonne la pointure, monsieur.
    — Euh, ...
    ... oui, merci mademoiselle…
    
    Le fait de la voir se cacher l’échancrure de son chemisier m’a fait rougir. Je balbutiais, j’avais chaud, j’étais gêné. J’avais été pris la main dans le sac si je puis dire… mais son sourire me réconfortait également.
    
    Peut-être avait-elle était flattée. Ou alors tout simplement attitude professionnelle et pensait que je n’étais qu’un vulgaire voyeur. Je ne le saurai jamais…
    
    Je me tournai vers mon épouse, elle regardait la vendeuse.
    
    — Chérie, c’est bon pour moi. Si elles te plaisent, je les prends.
    
    Pas de réponse, ma chérie était ailleurs…
    
    — Allô chérie… hou, hou !
    — Quoi ? Euh, oui, bien sûr, on les achète, si ça va.
    
    Surprenant cette réaction de mon épouse. Je la sentais différente. Probablement qu’elle s’était rendu compte de quelque chose.
    
    Mince… Elle devait pester après cette fille qui m’avait offert de belles vues sur son décolleté et moi d’en avoir profité…
    
    Passage à la caisse. Je jetai un dernier regard vers cette créature hors norme qui marchait dans le magasin et je flashai sur l’ondulation de sa poitrine au rythme de ses pas. J’avais l’impression de distinguer ses tétons tendus sous l’étoffe du chemisier. N’était-ce qu’une illusion sachant que je savais qu’ils étaient libres. Peu importe, c’était superbe !
    
    — Au revoir, monsieur dame. Merci.
    — Au revoir, mademoiselle, merci à vous.
    
    Nous sortîmes du magasin et immédiatement ma femme qui avait complètement changé de comportement me dit sur un ton enjoué :
    
    — ...
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