Nymphomane moi ? Tome I (3) - Histoires de Sexe

Nymphomane moi ? Tome I (3)

Lorsque mon mari revint d’un de ses soi-disant séminaires, qui lui permettaient de s’éclipser de la maison trois jours durant, il m’annonça qu’il avait invité son responsable à déjeuner dimanche à midi. Il espérait une promotion, mais elle dépendait beaucoup, pensait-il de l’accueil que nous allions lui offrir. Bien sûr cela dégénéra en dispute.

— Tu ne tiens aucun compte de moi, de mes aspirations, je dois toujours céder à tes desiderata, je commence à en avoir marre ! M’emportais-je.

— Oui, mais là c’est pour la bonne cause, tu voulais changer le look de ta cuisine, cela pourrait faciliter les achats !

— Tu m’embêtes, tu exagères, c’est toujours moi qui dois être à ta botte, tu vas voir ce qui va t’arriver un de ces jours, je vais m’en aller ! C’est encore bon pour cette fois, mais...

— Merci tu es sympa ! Bon si on est d’accord, j’aimerais que tu t’habilles ainsi, dit-il en fouillant dans la penderie.

Il sortit une robe d’été dont la couleur dominante était le bleu pastel. Elle était parsemée de fleurs vertes et jaunes. Assez courte, elle n’était retenue que par deux fines bretelles, et me laissait le dos complètement nu jusqu’à la naissance de mes fesses.

J’aimais bien cette robe, assez ample, on aurait dit qu’elle voletait autour de moi lorsque je marchais. Mais je savais qu’il ne fallait pas que je m’expose en pleine lumière, car alors la transparence était telle que l’on apercevait les moindres détails de mon corps.

Bien qu’il ne fasse pas froid, ...

... il choisit un porte-jarretelles assez fin.

— Si tu pouvais ne pas mettre de string, ni de soutien-gorge, c’est d’ailleurs exclu avec cette robe... ce serait parfait...

— Tu la veux vraiment ta promotion, lui dis-je en ricanant ! Je dois me sacrifier pour toi, tu veux qu’il me baise ?

— Pourquoi pas... si tu es d’accord ! Me dit-il avec un petit rictus.

Le dimanche suivant, sur le coup de midi, son Directeur arriva.

— Ma femme Trixie, Chérie Robert Portal mon Directeur.

Son chef, les cheveux blancs, la cinquantaine passée, très bedonnant, portant des lunettes, était vêtu d’une chemisette blanche et d’un pantalon vert olive. Lorsqu’il me serra la main, je sentis son regard me parcourir des pieds à la tête. Ses yeux me déshabillèrent littéralement. Après un solide apéro où ils consommèrent pas mal d’alcool, on passa à table.

Ils parlèrent sport, boulot. En servant je me débrouillai pour lui frôler l’avant-bras avec ma cuisse, puis de lui faire sentir sur le dos de la main qu’il laissait pendre lorsque je m’approchai, l’attache de mon porte-jarretelles. Prise au jeu, bien que ce ne soit pas, loin de là mon type d’homme, je lui effleurai le dos du bout d’un téton. J’adorai affoler les hommes, et mon mari avait donné des ordres pour aller dans ce sens !!

— Mettons-nous au salon, pour prendre le café.

Il s’assit sur le canapé, mon époux à côté sur un fauteuil. Celui-ci me regarda et me fit un léger signe de tête. Je compris ce qu’il désirait. Je servis le ...