La bonne annonce (1)
Datte: 13/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Ironboner, Source: Xstory
... envie de moi ?
— Oh oui, tu n’imagines pas.
En lui disant ces mots, je passai ma main sur sa cuisse, elle me laissa faire, puis sur son chemisier, et nous nous sommes embrassés. Je commençais déjà à bander bien dur !
Je lui déboutonnai son chemisier, pour laisser jaillir sa poitrine, trop serrée dedans, même dans son soutien-gorge, ses seins paraissaient déjà bien gros. Elle me retira ma chemise en retour. Puis je libérais ses seins de leur carcan, et quelle surprise, une superbe poitrine bien lourde et imposante, aux tétons percés ! Complètement en décalage avec l’image bourgeoise de Claire.
Je jouais avec ses seins pendant quelques minutes, puis elle me fit :
— J’ai envie de te sucer, enlève tout ça !
Je m’exécutai sur-le-champ, tandis qu’elle enleva sa jupe et sa culotte, elle était à présent en botte et bas, et là aussi surprise, un piercing sur une de ses lèvres de son minou tout lisse ! Décidément, la bourgeoise était une vraie salope en fait !
Je m’asseyais sur le canapé, et de suite, elle se jeta sur ma bite. Elle avait dû en sucer des queues, car sa technique était parfaite ! Elle savait la prendre comme il fallait, et la gorge profonde était un exercice facile pour elle, quel régal de se faire sucer comme ça !
De longues minutes s’écoulèrent quand je lui dis que j’avais envie de lui lécher la chatte. On partit dans la chambre, et je m’empressai de lui bouffer le minou. Très étrange avec ce piercing, une première, mais après tout, pourquoi ...
... pas. Je la doigtais en même temps, elle mouillait encore beaucoup pour son âge, je me disais, et je sentais que pas d’hommes étaient passé par là, car elle était très ouverte, si bien qu’après plusieurs minutes de léchages et de doigtages, elle me demanda de la fister.
C’était la première fois que mon poing disparaissait dans une femme, je bandais terriblement, et elle gémissait dans tous les sens. J’avais maintenant mal au sexe tellement mon érection était forte, je partis chercher alors une capote, et à mon retour, je commençai directement à la baiser. Le bruit de nos peaux qui claquaient, mes couilles contre sa chatte, c’était tellement bon. Je sentais qu’il ne fallait pas y aller par quatre chemins, c’était une vraie mature bien salope, qui aimait être traitée en tant que tel !
Je la retournai en levrette, et j’entrepris de lui casser les reins, tout en lui tenant les cheveux fermement. Elle gueulait :
— Oh oui vas-y, baise-moi, je suis une salope, ta pute, nique-moi !
Ce à quoi je lui répondis :
— T’aimes ça hein grosse chienne ! Tu fais la bourgeoise, mais t’es une grosse salope.
— Oui oui vas-y.
Je n’étais pas d’ordinaire à parler, et encore moins de manière hard, mais cette fois, je lâchai tout avec cette femme qui clairement aimait ça, il n’y avait pas de gêne à avoir.
Après un bon moment à jouer du marteau piqueur, elle m’ordonna de lui casser le cul. Je ne me fis pas prier, je commençais à lui mettre des doigts dans sa petite porte, mais elle ...