1. Toujours professionnelle en montagne (1)


    Datte: 13/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Leasoluis, Source: Xstory

    Écrit en collaboration avec Yanos :
    
    Dans mon travail, je peux être amenée à devoir faire des déplacements. C’est précisément de cette manière que commence ma dernière aventure. Comme souvent nous avons été prévenus au dernier moment mais bon la boîte nous (car oui on est plusieurs) a réservé, à ses frais, un petit séjour à la montagne. Alors même si on y va pour bosser, au moins le cadre sera canon. On se retrouve donc le lendemain dans un grand chalet de montagne. Nous sommes dix : cinq collègues (trois garçons et deux femmes) quatre stagiaires (trois garçons, une fille) et moi-même bien sûr. Rien de notable le premier jour, si ce n’est qu’on s’entend bien, que l’ambiance est à la fois studieuse et détendue et que surcroît, il fait un temps superbe.
    
    La soirée du lendemain est l’occasion d’une soirée plutôt festive et alcoolisée. Ainsi, à une heure du matin, je suis dans mon lit simple et je n’arrive pas à trouver le sommeil, encore un peu éméchée sûrement. Elodie, ma voisine de chambre (oui nous sommes dans une chambre double) de son côté dort profondément et ronfle bruyamment. Je reçois alors un texto d’Aurélien, un des stagiaires : "Tu dors ?" Je réponds d’un simple et abrégé : "Non PK ?". Ce à quoi il me rétorque qu’il n’arrive pas à dormir et me demande si je veux le rejoindre sur le balcon de sa chambre pour discuter avec lui. Comme je suis dans la même situation que lui, j’accepte volontiers. Je sors de mon lit et je m’apprête à le rejoindre. Je déambule dans le ...
    ... couloir, silencieusement, pieds nus, vêtue d’un petit short en satin rouge avec un string de même couleur juste en dessous, et d’un simple t-shirt blanc, léger et sans soutien-gorge. J’ouvre la porte de la chambre des trois stagiaires masculins, je traverse la pièce en toute discrétion, vu que les deux autres dorment aussi. Puis, j’écarte le rideau et j’ouvre la porte fenêtre coulissante pour finalement me glisser à l’extérieur et rejoindre Aurélien.
    
    Il est là sur le balcon, un mec plutôt pas mal, d’1m75, barbu et sportif. Il a 22 ans. Comme moi, il est habillé léger : short et t-shirt. Il m’invite à m’asseoir près de lui, sur un petit banc et nous conversons tranquillement. Je vous passe la discussion plutôt généraliste que nous avons pendant une vingtaine de minutes pour me concentrer sur les actions. Au départ, chacun se tient de son côté, laissant une distance raisonnable entre nous deux. Puis, au fur et à mesure de la conversation, la situation évolue. D’abord j’étends mes jambes sur les siennes et Aurélien, profite de l’aubaine pour caresser doucement mes cuisses, dénudées. Ce petit rapprochement tactile sert de prélude à celui qui va venir. En effet, Aurélien approche son visage du mien et il dépose ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse langoureusement et chaudement. Puis aux jeux de bouches et de langues, s’ajoutent les jeux de mains. Je passe mes mains sous son t-shirt pour caresser son torse ; il passe les siennes sur le mien pour tripoter mes seins. Et puis, ...
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