Ashley - 39 La fin du monde.
Datte: 12/07/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Mia-michael, Source: Hds
... :
— Qu'est-ce qu'on en fait ?
À tour de rôle, ils prennent la parole et suggèrent de faire un grand procès télévisé, de me faire disparaître ou encore de me vendre comme esclave. Prince dit à celui qui vient de suggérer de me vendre :
— Développe.
— Il ne faut pas en faire une martyre, du genre on s'acharne sur la pauvre épouse abandonnée par son mari... On la vend un bon prix.
Je ne veux pas être vendue, mais je veux encore moins disparaître. Je dis à Prince :
— Vendez-moi, Monsieur le Président, vous n'entendrez plus parler de moi.
— Président, c'est pour bientôt. Esclave, ça te plairait ?
— Pas du tout, mais disparaître encore moins.
Il sourit et répond :
— D'accord, on met le film qu'on vient de tourner en "secret défense" et pour la presse, il n'y avait plus personne à la Maison-Blanche. Ils se sont tous enfuis comme des lâches. Toi, on te vend.
Ce qui m'empêche de m'écrouler en sanglotant, c'est un nom... vous savez de qui je parle. Prince ajoute :
— Faites-la voyager discrètement.
Là, les choses vont vite. J'ai toujours les mains enchaînées derrière le dos et on me conduit dans une voiture aux vitres teintées... On va l'aéroport de Washington. Là, on me met dans une petite cage pour chien. Imaginez : de la Maison-Blanche à une cage pour chien ! Les hommes qui sont là n'ont pas l'air étonnés... c'est sans doute comme ça qu'on fait voyager les esclaves...
Un Black vient m'examiner. Il me dit :
— Tu as un beau cul pour une ...
... Blanche.
— Merci Monsieur... Dites, j'ai soif.
Il regarde autour de lui, puis il sort son sexe de sa salopette et le passe entre deux barreaux en disant :
— Suce-moi et je te donnerai à boire.
Ça ne me change pas tellement de ce que je devais faire avec ce salopard de président. Je tire sur la peau et découvre un gros gland tout rose qui tranche sur sa peau ébène. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe, dans la limite où la petite cage le permet... Je dois me concentrer sur ce que je fais.
Il lui faut bien une dizaine de minutes avant d'inonder ma bouche de sperme. Il presse son sexe de la base vers le sommet pour mettre les dernières gouttes dans ma bouche. Ensuite, il ouvre un instant la cage pour y mettre un bol d'eau en disant :
— Je vais te donner un peu à manger.
— Merci Monsieur.
Enfin, merci... c'est un grand mot, car il ouvre un sachet et le vide dans un autre bol. Il le met dans ma cage en disant :
— C'est de la nourriture pour chiens, ce qu'on donne aux esclaves.
Il y a deux jours, j'aurais dit « Les esclaves devraient être contentes qu'on les traite comme des chiennes ». Mais quand on a le nez dedans, c'est différent ! Et je crains de ne pas être au bout de mes mauvaises surprises.
Je me force à manger cette pâtée qui sent fort. Je ne sais pas quand je mangerai à nouveau. Quoique... il faut que les esclaves soient en forme pour être vendues. C'est vrai, je vais sans aucun doute être vendue comme esclave de plaisir ...