Au-delà (1)
Datte: 12/07/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Jean seberg, Source: Xstory
... mettant à quatre pattes de dos et les lèvres écartées, un cunnilingus presque obscène qui la ferait tant gémir, qu’elle ne se retiendrait plus et éjaculerait, offerte à tous ses camarades. Mais Janine n’était pas là, et bien que connectée à l’autre bout de la ville, elle ne pourrait voir l’effet que son traitement avait sur Estelle. C’est à ces pensées tenteresses que tout doucement, elle abaissa sa culotte et plaça l’objet entre ses lèvres humides.
Il s’insérait parfaitement, s’appuyant doucement contre le clitoris et venant en même temps titiller l’entrée du vagin très sensible aux caresses...
Elle se leva un instant pour juger de sa position et satisfaite, releva son pantalon puis tira sur sa braguette: De l’extérieur, l’objet était invisible.
Plus elle approchait de la salle de classe, plus le cœur d’Estelle battait la chamade, un mélange d’excitation et de crainte qui la faisait presque trembler. Elle eut envie de courir, ne sachant s’il valait mieux fuir ou rester, qu’une fois la porte de la salle passée, elle ne pourrait plus faire marche arrière. Elle serait sous la domination de cette amante virtuelle, dont la simple pensée faisait faire des nuits blanches à Estelle: elle pouvait se détacher de la vision de son regard bleu et puissant, à la fois tendre et tellement intimidant. Elle ne pouvait plus dormir sans penser à elle, sans s’imaginer sa langue sur son corps, entre ses fesses, passant la main sur ses tétons et l’embrassant de l’oreille à la base du ...
... cou, son poids, sa chaleur, son odeur et ses mains, la manière qu’elle avait de l’enserrer, de l’embrasser, de la prendre et de la faire jouir.
Estelle en devenait folle et se remémorait chaque soir, une main dans sa culotte, ces souvenirs intenses et elle se masturbait sans ne pouvoir qu’à grand-peine attendre leurs prochains rendez-vous.
Estelle vivait donc dans un état d’excitation presque permanent, et bien qu’elle sentit une légère gêne entre ses jambes, la pression régulière faisait monter en elle à chaque pas l’impatience.
Quand elle se rassit à sa place, l’objet était toujours éteint. Personne ne semblait avoir remarqué qu’elle était revenue.
C’est alors qu’elle reçut le quatrième texto:
— C’est bon ?
— oui. C’est bon.
Répondit-elle.
Pendant 10 secondes, il ne se passa rien. 10 secondes d’absence où tout lui sembla vide, dans sa tête, devant ses yeux, elle n’entendait plus même la voix du professeur de physique. Une latence interminable, comme si le temps s’était arrêté. Puis plus rien que le long frisson qui la parcourt lorsque quand l’objet se mit à vibrer.
L’objet, tout d’abord, ne vibra que légèrement. Estelle avait craint que l’on perçoive quelque chose, mais la voix du professeur aurait couvert le ronronnement.
Installée dans le fond de sa chaise, elle relâchait peu à peu ses muscles pour sentir l’objet vibrer contre elle. Elle s’imaginait Janine en train de se masturber en pensant à elle, soumise à sa manipulation de l’écran tactile. ...