Sagesse (3)
Datte: 12/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Gerald93, Source: Xstory
Lorsque je desserrai les cuisses et libérai enfin sa main, je sentis une fraicheur m’envahir les fesses. J’avais joui abondement et probablement taché le canapé. Si c’était le prix à payer pour avoir vécu ce moment, je l’acceptais volontiers. Il se redressa, m’embrassa, et s’allongea sur moi. Je reconnu dans se baiser le gout de mon miel. Trop occupée à s’avouer ce cunni, je ne m’étais pas rendu compte qu’il avait ôté son boxer. Maintenant sa verge tendue brulait mon ventre. Pendant quelques secondes, j’avais égoïstement envie d’en rester là. Qu’il parte sans un mot et me laisse seule avec ce bon souvenir. Mais bien sûr, dans son état, il méritait lui aussi de prendre son pied.
Il se décala et sans forcer me pénétra enfin, très facilement, lentement, et profondément. Je me demande même si ce n’est pas ma vulve qui avait subitement aspirer son gland. Il fit trois ou quatre lents et profonds aller-retour, avant de se retirer. Le sofa, trop court, le contraignait à une position inconfortable. J’en profitais :
- Le préservatif, s’te plait, lui dis-je, inquiète.
Et je lui proposai également de déplier ce clic-clac. En deux seconde ce fut fait. Et j’admirai au passage l’érection qu’il tenait. De la poche de son pantalon, il sorti la précieuse pochette, s’assit sur le bord du matelas, et me tourna le dos pour s’équiper. Les jambes à nouveau serrées, je sentais que j’étais trempée. Il se retourna, et dit en plaisantant :
- On en était où déjà ?
Je lui fis à nouveau ...
... une place au creux de moi, et il m’enfila comme une perle. Rassurer, je pouvais me laisser aller au plaisir et lui abandonner tout mon corps…
Avec puissance et retenue il allait et venait en moi. Je relevais les bras pour tenter de ralentir la dérive de nos corps vers le haut du lit, mais aussi pour lui offrir mes seins, certes petits, mais toujours en manque de reconnaissance. Il le comprit, et les embrassa. Le missionnaire n’est pas la meilleure position pour s’en occuper. Comme lisant dans mes pensées, il se retira, s’allongea près de moi. Il releva ma jambe, glissa la sienne et me pénétra par coté. Une position que je ne connaissais pas, et pourtant simple. Moi sur le dos confortablement allongée, lui, sur le coté à 45°, nos jambes emmêlées. Elle permettait une pénétration profonde, sans que l’un de nous supporte le poids de l’autre, et lui offrait tout mon corps à peloter avec ses deux mains de libres.
Il reprit avec un rythme plus soutenu. Son bras me ceinturait le ventre. A chaque coup de boutoir, je mouillais plus encore. Puis, ralentissant le mouvement il relâchât son étreinte et remonta enfin ses doigts sur mes tétons qui désespéraient. La chaleur de ses caresses tant attendues associée aux grands coups de queue qui reprenaient me fit échapper des cris de plaisir. Il me fallait contrôler ces manifestations de crainte d’éveiller les soupçons des voisins, d’autant que j’avais laissé la fenêtre entrebâillée.
Mes cris semblaient l’encourager. Il avait pris un peu ...