1. La mascotte de léquipe de rugby se tape un couple. (2)


    Datte: 11/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... Je m’imagine comment il pourrait écarter mon haut de mes épaules parfaites, saisir mes seins entre ses mains, puis les laisser glisser sur mes hanches, écarter mes cuisses avant de plonger son visage dans mon fruit pulpeux comme une mangue qu’il dégusterait à longs coups de sa langue dévorante tel un papillon aspirant le nectar d’une fleur.
    
    Je me vois dans le miroir de l’armoire avec mes bracelets qui s’entrechoquent sur mon poignet avec cette énorme bite dans les mains, maintenant complètement érigé. La taille de celle-ci en comparaison avec mon avant-bras est incroyable, irréelle, fantastique. J’approche ma bouche et commence à le sucer. J’entends le rire de Vivien quand ma langue attaque ce pénis, je m’en fiche.
    
    Ça fait du bien de sucer, lécher, embrasser et même mordiller un tel gourdin. Mais je suis frustrée car malgré mon expérience et mes capacités buccales, une partie encore respectable du bélier n’entre pas dans ma bouche. Le spectacle que ça donne est stupéfiant.
    
    La voix basse de Vivien déblatère des mots crus, obscènes.
    
    -Alors GP. Tu as trouvé ton maître ! Ce petit merdeux vient de mettre à mal ta renommé, tu abdiques comme la salope que tu es !
    
    Je suis très sensible à cette injure, il n’est pas acceptable pour moi de ne pas y arriver. Je le repousse, vais m’étendre sur le lit, la tête basculée en arrière dans le vide et ordonne à Patrice :
    
    -Viens remettre ta teub dans ma bouche et prend-moi comme si tu baisais une chatte !
    
    Il s’approche de ...
    ... moi, je reprends sa queue entre mes mains, puis dans ma bouche, son gros gland déforme mes joues.
    
    — Suce-le… oui …comme ça…. Et toi Patrice, qu’est-ce que tu attends ? Lance Vivien.
    
    Aussitôt, je sens le gland s’enfoncer plus loin, j’étouffe, je bave mais Patrice ne lâche pas son emprise, ses mains soutiennent ma tête et ma gorge se gonfle sous la poussée de cette verge peu commune. J’ai déjà gobé des bites si longues de cette façon, mais jamais si grosses… J’espère qu’il a gardé son sang froid, car s’il ne se retire pas à temps, je vais manquer d’air.
    
    Je tiens le plus longtemps possible, son large gourdin dans la bouche écrasant mes amygdales. Je commence à manquer d’air et Vivien, inquiet, gueule à Patrice en m’entendant geindre :
    
    — MMMMPPPPFFFFF !
    
    -Eh, retire ton chibre qu’elle puisse respirer, et toi Eva, t’es vraiment une sacrée cochonne, comme suceuse de bite tu te poses là, difficile de te battre et je dois reconnaître que ta réputation n’est pas usurpée, Putain ! Je n’avais jamais vu ça, je voyais ton cou se gonfler à chaque centimètre qu’il enfonçait son pieu dedans ! Quel spectacle !
    
    Mais Patrice a pris goût et avec d’amples mouvements du bassin, il recommence encore et encore à faire disparaitre la totalité de sa verge dans ma bouche, ses couilles venant frapper mon nez. Il a pris le rythme et surveille de près pour que je puisse reprendre ma respiration entre chaque poussée.
    
    Je sens qu’il approche du point de rupture, j’essaie de le repousser mais ...