Laurie et Ingrid (3)
Datte: 11/07/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: beau gosse 35 ans, Source: Xstory
... Charles, 20 ans de plus que moi, moche, gros, nul au lit, mais riche. Je l’avoue, je voulais à ce moment assurer mon existence. Depuis il est mort d’un infarctus, ce qui fait que je suis veuve.
Mais, de son vivant, je prenais des amants à tour de bras. Le tempérament que vous avez constaté ne pouvait se contenter d’un mari impuissant. Un jour, j’étais à un bar, juchée sur un tabouret, vêtue d’un chemisier très décolleté, une jupe moulante avec dessous un porte-jarretelles et des bas. Comme d’habitude, je ne portais pas de culotte. C’était ma technique de "chasse" habituelle, technique infaillible.
Cette fois là, comme les autres fois, ça a marché. Je sirotais un martini depuis cinq minutes lorsque j’entendis une voix mâle qui me demanda:
— Je peux vous offrir une petite coupe de champagne Madame ?
Je regardai l’homme: un beau blond aux yeux bleus, bien bâti, vêtu avec élégance.
— Volontiers cher Monsieur, j’ai un peu de temps.
— A la bonne heure ! James, tu mets deux coupes ?
— Bien Monsieur !
— Vous offrez souvent une coupe aux dames seules Monsieur ?
— Oh appelez-moi Karl !
— Moi c’est Ingrid ! Mais vous n’avez pas répondu à ma question ?
— Non, seulement aux femmes séduisantes...
— Oooh ! Galant homme ! Et... vous vous contentez de partager une coupe avec les femmes séduisantes ?
— Eh eh ! Ca dépend...ça dépend d’elles !
— Mhh je vois...
J’avais avisé une alliance à sa main gauche. Je demandai perfidement en ...
... tapotant sa bague:
— Votre femme est au courant de vos... rencontres ?
— Oh non ! Elle est très jalouse !
— Mais dites-moi, c’est pas bien de tromper sa femme... Je n’aurais peut-être pas dû accepter votre invitation !
— Ben vous savez, je suis bien avec elle, mais j’ai un tempérament fougueux !
— Je vois... et Madame ne suffit pas à assouvir vos appétits ?
— Oui et puis... même si elle est bien foutue, elle ne possède pas des atouts aussi... volumineux que les vôtres.
Ce faisant, il louchait sur mon décolleté.
— Je dois dire que ça plaît beaucoup... Mais possédez-vous l’engin qui correspondrait au niveau taille ?
— On peut vérifier tout de suite ! J’habite à deux pas.
— Mais ne disiez-vous pas que votre femme était jalouse ?
— Elle est partie pour la journée !
Nous nous sommes donc retrouvés dans sa grande maison. Un bon coup le Karl ! Une belle bite un peu moins grosse que la tienne Romain mais performante. J’eus droit à la totale par-devant, par derrière. Deux orgasmes avant qu’il ne couvre ma poitrine de foutre.
Il prit sa douche, je pris la mienne et je revins dans le salon où se trouvaient mes vêtements. J’avais juste remis mon porte-jarretelles et mes bas.
Karl était assis sur le canapé, l’air bizarre. Il s’était rhabillé. Je lui lançais joyeusement:
— Eh ben chéri t’es tout triste ! Tu veux qu’on remette le couvert ? Moi je suis partante !
Et là, j’entendis une voix féminine:
— Ca va pas être possible !