Les deux "p'tits loups" et la prof (suite)
Datte: 10/07/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Plaisir d'écrire, Source: Xstory
... de collégien boutonneux... Ses vestes de costume, ses cheveux bruns bouclés... Son élégance vestimentaire... Son corps mince, sa queue effilée et longue... Quand il me lèche et me doigte, quand il me mord le cul, quand il me bouffe littéralement les mamelons, quand il me pénètre en levrette et qu’il me défonce, quand il éjacule sur moi, là où il peut parce qu’il ne peut plus se retenir... Un sourire coquin est apparu sur mes lèvres...
(...)
Un baiser sur les lèvres de mon mari... Il m’a dit qu’il me trouvait belle et que si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait aimé être une petite souris et ainsi s’immiscer dans cette soirée «collègues». S’il savait... Il m’a souhaitée une bonne soirée, il m’a demandée de faire attention sur la route. Un dernier baiser et je suis partie. Une fois la porte d’entrée de notre maison fermée derrière moi, plus rien n’avait d’importance pour moi. Plus rien sauf... Oui... Mes chers «p’tits loups» préférés... C’est fou comme ils mettent Mon esprit sans dessus dessous. Pendant que je conduisais, j’essayais d’imaginer ce que Steven et Clément me réservaient, cette fois-ci. Si je savais... En réalité, j’étais loin d’être au bout de mes surprises...
En arrivant au seuil de l’appartement des deux jeunes, je me suis rappelée ce que ces derniers m’ont dit le matin même à la fin de leur cours, quand je les a retenus quelques minutes pour un prétexte complètement bidon. En plus de mentionner comme d’habitude la tenue que je devrais porter, ils m’ont ...
... également glissée que la porte d’entrée serait ouverte, exprès, et que je devrais les attendre dans la pièce à vivre de l’appartement, les yeux bandés. En effet, un bandeau noir m’attendrait sur la table basse Ikea... Quand ils ont quitté la salle de cours, je ne savais pas trop quoi penser... Et là, j’en avais été là. Ni une, ni deux, je suis entrée dans le logement.
Pas de bruit. Tiens... Étrange... Bon. Je n’avais pas à tergiverser. Je me suis rendue dans la pièce principale de l’appartement. Je me suis déshabillée sans perdre de temps. Tout en me mettant à poil, je pensais à eux deux. Que faisaient-ils ? J’avais le cœur battant. J’avais hâte... Sur ce, entièrement nue, j’ai tendu la main vers le table basse et je me suis saisie du bandeau noir. Il était tout doux au toucher. De la soie, je supposais. Je me suis bandée les yeux. Là. Je n’avais plus qu’à les attendre, désormais...
(...)
Je ne sais pas combien de temps j’ai attendu. Combien de temps je LES a attendus, mes «deux p’tits loups» favoris. Peu m’importait. J’avais surtout hâte qu’ils me rejoigne... et qu’ils me baisent à leur guise, sans ménagement, comme j’aime. À cette pensée, j’étais toute excitée et je me suis mise à mouiller de plus belle. De plus, malgré le fait que j’ai respecté à la lettre le «dress code» qu’ils m’ont imposée pour ce soir, moi aussi, j’ai voulu apporter mon petit grain de sel... coquin. Et là, je sentais à merveille le plug dans mon cul. Je l’avais inséré chez moi, à un moment où ...