La déchéance de Juliette Ch. 04
Datte: 09/07/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... Donc je vais t'expliquer ce que tu vas faire maintenant : Je veux que tu te mettes à genoux et que tu viennes vers moi à quatre pattes comme une vraie chienne.
Juliette regarda le gros noir, perplexe.
- Qu'est-ce que j'ai dit ? Fais le ! Immédiatement !
Désespérée, elle tomba à genoux, pressée de sortir de cet enfer. Le proxénète sourit et la guida hors de la chambre, le long du couloir et à travers la réception. Habillée de façon embarrassante, elle fut dévisagée par les autres filles ainsi que par un client étonné.
Elle put sentir leurs regards sur son cul rond alors que la jupe était montée et ne cachait rien.
Dehors, tandis que la nuit tombait, Juliette resta à quatre pattes en descendant l'allée de la maison jusqu'à deux hommes debout à côté d'une grande camionnette blanche. Ils se poussèrent du coude tout en rigolant de voir la commissaire ramper vers eux dans une tenue de pute. Plusieurs fois ils avaient été arrêtés par les forces de police de la ville pour leurs diverses activités criminelles. Ils étaient donc contents de pouvoir se venger.
- Voilà les gars.... Une salope de policière prête a faire le trottoir.
Sur ces mots, le souteneur noir remit la laisse aux hommes, leur serra la main et retourna dans son bordel pour téléphoner et avertir que tout se passait comme voulu.
Voyant l'homme partir, Juliette voulut se remettre debout mais une main la repoussa vers le bas.
- Non, reste comme tu es. Tu seras bien assez debout ce soir.
Elle ...
... leva les yeux vers les deux hommes et réalisa qu'ils ne valaient pas mieux que les bâtards auxquels elle avait été soumise cet après-midi et la nuit dernière. Ils étaient presque jumeaux : 1m80, les cheveux rasés en tee-shirt blanc. Ils étaient blancs et couverts de tatouages. Mais Juliette avait bien vite découvert que, malgré sa haine d'autres races, le chantage était toujours pareil quel que soit la couleur de peau du maître chanteur.
L'un des hommes, légèrement plus grand, qui se nommait Alain, grimpa à l'avant de la camionnette. L'autre, appelé Christian, tira sur la laisse tout en poussant la femme du bout de sa botte et la guida vers les portes ouvertes de l'arrière de la camionnette. Juliette, à contrecœur, rampa dans la rue pavée et grimpa dans l'obscurité du véhicule.
Une fois qu'ils furent tous dans la fourgonnette et que les portes arrière furent fermées, Alain alluma une lumière et démarra. Christian tira Juliette par les cheveux et l'assit sur un banc en bois en face de lui. Il lui sourit :
- Vous savez que vous êtes beaucoup mieux dans ces vêtements que dans le costume que je vois dans les journaux.
Juliette ignora le commentaire, les yeux fixant le sol. Elle ne fut pas autorisée à le faire longtemps car l'homme attrapa son menton et l'obligea à fixer ses yeux verts moqueurs.
- Que se passe-t-il salope ? Tu es trop bien pour parler avec moi ? Tu peux bien être une commissaire de police dans la vie de tous les jours mais ce soir, tu n'es qu'une ...