Sarah et son frère soumis à une mère abusive (4)
Datte: 09/07/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Elisa M, Source: Xstory
... Qu’elle mène à son terme son projet, et c’est la promesse d’une nuit difficile : follement excitée, incapable de me soulager, je serais condamnée à passer une nuit blanche remplie de rêves de luxure. Ce serait atroce, mais cette frustration accumulée serait aussi une bénédiction.
Et quelles sensations pourrais-je atteindre lorsque je libérerais enfin un orgasme aussi longtemps retenu ?
Alors que je me décide à jouer le jeu, Madame Lanfourne reprend ses caresses sur mon clitoris. C’est sans doute plus pour me faire "souffrir" que pour mon plaisir, mais peu importe puisque j’arrive à aimer ça malgré tout !
Cette fois, mon appendice gonflé par le plaisir ne résiste pas très longtemps : au bout de quelques secondes, je me retrouve déjà à pousser de longs et intenses gémissements de plaisir. Je suis devenue ultra-sensible : un rien suffirait à me faire chavirer dans un plaisir infini.
Mais ce "rien", Madame Lanfourne est fermement décidée à me le refuser : là encore, elle arrête ses caresses quelques secondes avant qu’elles ne m’amènent à la jouissance. Pourtant, cette fois, elle ne s’arrête pas là : elle me pince le clitoris, ce qui me provoque une douleur affreuse.
— Aïe ! Arrêtez, par pitié !
Elle finit par arrêter, mais son sourire mauvais indique sans aucun doute possible que la nuit va être longue pour moi.
— Tu es une petite catin libidineuse. Si je veux que le démon quitte ton corps, il faut qu’il apprenne à assimiler la luxure à la souffrance. ...
... Ainsi, il arrêtera peut-être de réclamer ce genre de perversion.
Je rêve ? Qui est-elle pour me parler de perversion, elle qui est persuadée de s’adonner à une sexualité débridée avec son propre fils !
Je suis pourtant bien impuissante, attachée comme je le suis sur ce lit, alors j’en suis réduite à acquiescer pour essayer de m’attirer ses bonnes grâces.
La "séance" de Madame Lanfourne dure plus d’une heure, durant laquelle elle ne cesse de m’entraîner aux portes de l’orgasme, avant de le stopper par une intense douleur : gifles, fessées, pincement du clitoris ou des tétons.
Il ne me faut pas longtemps pour me rendre compte que j’ai affaire à une authentique sadique : Madame Lanfourne prend un plaisir évident à m’infliger ces souffrances, surtout que son plaisir est également et peut-être surtout sexuel. Bientôt, c’est elle qui gémit de plaisir en me faisant découvrir de nouveaux sommets de douleur.
Au bout d’un moment, elle n’y tient plus et vient s’asseoir sur mon visage.
— Lèche-moi, petite traînée ! me dit-elle seulement.
À moitié étouffée par cette position très inconfortable, je m’exécute du mieux que je peux en espérant mettre fin à mon calvaire. Mais Madame Lanfourne ne fait rien pour me rendre la tâche plus facile : ses cuisses ouvertes juste au-dessus de mon visage ne me laissent voir et sentir que sa chatte béante, humide et poilue. Je la lèche comme je le peux, mais je ne trouve pas son odeur agréable, et je ne suis de toute façon pas très attirée ...