1. Une histoire ( pornographique) de famille... (3)


    Datte: 08/07/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... la quarantaine devaient plus prendre soin d’elles-mêmes pour continuer à exprimer leur féminité et attirer des hommes plus jeunes. Quand leurs maris devenaient mous de la bite, et plus intéressés par des parties de pêche, qu’à honorer leurs épouses respectives. Évidemment, ma mère ne put que penser au long week-end de pêche, dans les environs, que leurs deux maris avaient prévu, après le repas de famille annuel. A sa grande surprise, ma mère comprit que Marlène avait un amant d’à peine 28 ans, et qu’il la comblait sexuellement. Mais pour cela, elle allait montrer à ma mère comment faire pour appâter n’importe quel homme.
    
    Elle fit glisser son peignoir, et apparut nue devant ma génitrice, qui ne pipait mots. Mais sa nervosité était encore plus visible. Et ma tante s’en rendait compte. Elle avait compris que le poisson était ferré !
    
    Elle prit une chaise, et la retournant vers elle, s’assit dessus complètement nue, en écartant les cuisses, dans une pose “cabaret” très vulgaire ! Cette pose de cabaret était très excitante. Elle découvrait l’entièreté du sexe de ma tante, ses lèvres roses et proéminentes, son clitoris, et son triangle de poils blonds, bien taillé. Évidemment, ses seins orgueilleux pointaient en direction de ma mère. La pauvre ne parvenait pas à quitter le sexe de sa belle-sœur des yeux. Elle était livide !
    
    Ma mère baignait dans son jus, et ma tante en était parfaitement consciente, alors en bonne manipulatrice, elle poussa son avantage.
    
    — Marjolaine, ...
    ... voudrais-tu aller voir dans l’armoire du fond, et ouvrir le dernier tiroir ?
    
    Sans un mot, servilement, ma mère se leva et fit comme il lui avait été demandé. Elle eut son visage juste devant la "sculpture pourrie", posée sur la commode, et était à même pas cinquante centimètres de ma Gopro, mais elle ne la vit pas. Voir le visage de ma mère en gros plan, à ce moment-là, était cocasse. Elle était blême, en proie à pas mal d’émotions contradictoires, oscillant entre excitation, honte, peur de ses propres réactions... mais le truc le plus mortel fut quand elle ouvrit le tiroir : une expression d’étonnement, voire presque d’effroi !
    
    — Oui, vas-y, farfouille, je veux les bas couture noirs, et le porte-jarretelles de la même couleur, c’est au fond, enlève ce qui te gêne !
    
    Marlène avait bien préparé son coup, car ma mère, incrédule, retira : une tenue de soubrette, une tenue SM en cuir noire, divers body très échancrés et des gadgets ! Boules de geisha, spéculum, pinces pour les seins, palette pour la flagellation, et puis elle se retrouva avec un chat à neuf queues dans la main. Surprise, elle se retourna avec ledit engin, et regarda ma tante qui l’observait goguenarde...
    
    — Tu vois les trucs sympas qu’on peut faire avec un homme plus jeune ! Et qui a de l’imagination ! Ça, c’est un grand martinet, un chat à neuf queues ! Tu n’as jamais lu Sade ? Je te montrerai comment on s’en sert, tout à l’heure ! Bon alors, et ce porte-jarretelles ? Ah, et prends le blanc avec les bas ...
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