Confinement oblige (2) - Histoires de Sexe

Confinement oblige (2)

... m’apparaissait à ce point comme une femme et non comme simplement ma sœur. Au vu de l’ambiance, je bandais déjà quasiment lorsqu’elle commença, aussi elle n’eut pas de mal à honorer son défi. Derrière mon petit coussin, je peinais à cacher mon érection lorsque Jeremy suggéra à Emma de me venir en aide avec sa bouche. La scène était surréaliste. J’étais nu dans mon salon, devant mon meilleur ami, ma sœur et ma copine qui saisissait mon chibre en érection. Les lèvres d’Emma effleuraient mon sexe désormais à la vue de tous et nous étions bien trop inhibés par l’ambiance et l’alcool pour que quiconque soit gêné. Assis sur le canapé, je savourais cette fellation unique en son genre. Désormais, nous ne jouions plus.

Jeremy baissa à son tour son pantalon et son caleçon pour révéler son pénis fraîchement rasé, Noémie rampa jusqu’à lui et imita Emma en enfonçant la verge de son copain dans sa bouche.

Pendant un temps qui me parut très long, seuls les bruits de succion et nos gémissements se faisaient entendre. Ma sœur et moi étions en train de pratiquer un acte sexuel à 20 centimètres l’un de l’autre, mais cela n’avait plus d’importance. Jeremy me jeta un regard complice que je n’avais pas revu depuis notre nuit avec Capucine, une fois de plus, nous partagions tous, même notre plus grande intimité de couple. Bien que très agréable, la fellation avait assez duré et j’avais à mon tour envie de lui donner du plaisir. Je prononçais alors la phrase qui bouleversera peut-être le ...

... reste de ma vie : « on change » invitant ainsi Emma à changer de position qu’elle interpréta autrement puisqu’elle demanda à ma sœur si cela ne lui posait pas de problème...

Noémie se tourna vers moi avec un regard qui semblait mêler surprise et excitation. Elle acquiesça et alors que j’aperçus du coin de l’œil ma petite amie plonger le phallus de mon meilleur ami au plus profond de son œsophage, je stoppai de justesse ma sœur qui allait faire pareil avec le mien.

Je ne savais plus où j’en étais, mais je savais que ma bite n’avait rien à faire sous la langue de ma grande sœur. Pourtant l’envie ne m’en manquait pas, ma sœur rassemblait en elle tous les critères qui savaient me plaire chez une femme et vu le peu d’hésitation qu’elle avait eu à venir me pomper, je ne devais pas lui être totalement indifférente non plus. Il fallait faire quelque chose si je ne voulais pas que cette soirée se termine ainsi. Aussi j’invitai Noémie à échanger nos places pour réaliser le cunnilingus que je réservais initialement à Emma. Mon aînée ne se fit pas prier, elle fit glisser le long de ses jambes, leggins et culotte, avant de les écarter en grand. Sous mon nez, j’avais la vulve de ma sœur, luisante de cyprine. Un vagin reste un vagin et même si celui-ci était défendu, ce n’étaient plus les tabous qui allaient m’empêcher de le faire miauler. Au premier doigt inséré, je n’eus plus de doute sur l’état d’euphorie dans lequel était ma sœur.

Tout son vagin palpitait et demandait à être ...