COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Saison IV (11/13)
Datte: 08/07/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ce chapitre tiré des écrits de Phil, je l’ai simplement remis en forme, mais il est l’exacte vérité de ce qui s’est passé.
La journée comme presque chaque jour a commencé passé midi après un petit déjeuner copieux.
Lorsque l’on a frappé je me suis levé pour ouvrir en enfilant mon boxer.
Le serveur apportant la table roulante est passé devant la séparation entre la salle et la chambre.
C’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’Iris dormait nue sur les draps nous montrant son joli petit cul.
Ce jeune italien voulait repasser discrètement, mais ça a été plus fort que lui et il a regardé avant de se retourner pour me saluer.
Il était rouge, j’ai pris un des billets dans mon portefeuille que je lui ai tendu.
J’étais à deux doigts de lui dire que la vue du cul d’Iris lui suffisait comme pourboire, mais j’avais faim et je me suis tu.
J’ai pris une viennoiserie que j’ai passée sous le nez de mon aimée.
Elle a fini par ouvrir un œil, elle aussi devait avoir faim.
- Merci mon amour pour la promenade en gondole hier au soir.
Si l’on m’avait dit que j’étais capable de faire l’amour dans une embarcation, j’aurais crié au malade.
Nous mangeons, nous nous préparons avant le repas du soir et cet après-midi shopping.
Je dois reconnaitre que les cousins ou les cousines de Livio nous sont bien utiles après avoir trouvé le magasin de masques.
Je freine Iris, lui rappelant que nous reprenons l’avion demain et qu’à part un bagage à main que je peux ...
... porter, vider la boutique et c’est un semi-remorque que je devrai louer.
Elle se contente de deux très beaux masques de Colombine et d’arlequin ainsi que de petits masques pour nos parents ou amis.
Idem dans une boutique de verrerie, des boules de verre servant de bouchon à des bouteilles de vin ouvertes, prenant peu de places feront l’affaire.
Là où j’ai plus de mal, c’est dans les nombreuses boutiques de vêtements, une petite robe d’été, maillot de bain sans oublier la boutique de chaussures où les prix défiaient toute concurrence.
Bref, je fais chauffer la carte bancaire, mais avec un avantage, le short avec un débardeur contenant tant bien que mal ses jolis seins.
Le tout posé sur des talons hauts découpant la ligne de ses jambes qui vont faire retourner tous les hommes sur notre passage vers le restaurant.
Nous sortons de la chambre, moi dans une tenue sport comme si je me rendais à un match de tennis à Roland Garros.
En prenant le couloir, je vois toujours l’étiquette « Ne pas déranger », nos anglais doivent avoir rejoint leur reine et de nouveaux clients doivent avoir pris la chambre.
Il est vingt heures lorsque nous prenons un apéro sans alcool pour Iris et un « Martini on the rocks » pour moi sur la place Saint-Marc.
Le temps est lourd en ce début de soirée.
Nous arrivons près du restaurant lorsque les premières gouttes tombent.
J’espérais manger dehors sur les tables placées le long du bistrot de Venise, mais les rares clients déjà ...