Je découvre ma jumelle (5) - Histoires de Sexe

Je découvre ma jumelle (5)

... maternelle. Ma mère retombe épuisée sur le matelas, son corps et amorphe.

A ce moment papa jouit dans la chatte de Marie en poussant un cri de délivrance, Marie tète toujours un sein, elle manque d’air, l’orgasme la transperce.

Plus personne ne bouge, les corps se détendent, j’aspire les dernière gouttes de la sève de maman. Ma main est toujours dans sa chatte. Elle a la force de murmurer :

- Tu m’as fait jouir comme jamais, tu es dans la chatte de maman mmmm.

Je retire ma main après avoir ouvert mon poing, Hélène a l’impression qu’on lui vide le ventre.

Je monte a genoux sur le lit, j’ai pas joui même si je n’étais pas loin de l’orgasme, Marie se retourne et prend ma bite, lèche le gland, le tète, papa se joint a elle, une pipe a deux bouches, mmmmm c’est bon, mais je ne peux pas en profiter longtemps, je suis hyper contracté à cause de l’excitation, je sens mes jambes se crisper, mes mains posées sur chaque tête se contractent, ma bite a des contractions, je décharge mon jus d’homme, Marie et papa se le partage autant que faire ce peut, puis Marie reprend ma bite en bouche et pompe jusqu’à la dernière goutte.

Après un moment de récupération nous rejoignons la cuisine. Maman marche comme si elle était groggy, sa jouissance a été trop forte.

Nous prenons place et prenons le "p’tit dèj". C’est un sacré debout de journée.

Pendant que nous mangeons, nous commençons à évoquer le lendemain, jour de rentrée sur Aix, et nous avons déjà un pincement au cœur. ...

... La radio est allumée et un confinement et la fermeture des FAC sont annoncés comme probables. Nous nous regardons :

- C’est un signe dit maman.

Et nous éclatons de rire.

Pour midi nous commandons des pizzas, puis direction le port de Hyères pour prendre le bateau loué. Le temps n’est pas très chaud, mi-octobre oblige, mais il nous permet d’être vêtus "type Automne".

Papa et moi avons un bermuda, une chemise et un gilet au cas ou et tout le monde a un imper type Kway des fois que la mer se rappelle à nous, ce qui n’est pas prévu. Maman a un short ample, une marinière et une polaire sans manche. Marie a une jupe plissée qui arrive à mi-cuisses, un sweat-shirt et une doudoune légère.

Nous prenons le bateau en compte et nous mettons cap sur la presqu’ile de Giens. IL y a peu de bateaux autour de nous. Bernard a pris une vitesse modérée. Très légère houle, donc le bateau ne "tape" pas beaucoup. Maman se met a coté de papa et Marie se met le dos contre moi. Je sens le parfum de sa chevelure et de son corps, distincts mais enivrants. Je passe une main devant elle j’ouvre la doudoune, je caresse son ventre par-dessus le sweat, je descends lentement vers la ceinture de la jupe, Marie frémit un peu :

- Tu as froid ?

- Non c’est la caresse !

Je passe ma main sous la ceinture vers son mont de vénus, je touche sa peau, nue sous la jupe… mmmmm elle n’a pas de culote. Ma main continue sa descente, j’arrive sur le clito, encore dans son capuchon, mais qui commence à ...