L'auberge (1)
Datte: 08/07/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
Sur une route de campagne, une petite voiture roule. Celui qui conduit n’était pas pressé, il emmenait sa petite amie à travers la belle campagne italienne, bien à l’écart des grandes routes et des autoroutes. Ils avaient deux mois pour faire ce que bon leur semble. Mais la jeune demoiselle était déjà pressée de trouver un petit hôtel, sa main était même déjà sur la braguette du pantalon de son amant. Impatiente furie, elle ne rêvait que de se faire prendre par lui de partout.
Le long d’une rivière, sur cette route, elle n’y tenait plus. Elle ouvrit ce pantalon, en sortit l’objet de sa convoitise, et le glissait entièrement dans sa bouche. Le conducteur fit tout pour garder un œil sur cette route étroite. . Pascal s’arrêtait sur le bas-côté de la route pour mieux profiter de la bouche de Patricia. Il la savait particulièrement très excitée de faire ce voyage que tous les deux. Et à la voir se démener sur son chibre, il ne pouvait qu’être certain de son idée de séjour italien. Il ne faisait rien pour retenir son plaisir. Il savait qu’elle aimait ça, le sucer.
La pluie devait s’en mêler, rendant la route plus dangereuse car glissante. Il éjaculait dans un long grognement. Au moment de remettre le contact, la voiture sembla donner les signes d’une panne prochaine. La première mise, la voiture, fit quelque mètre, toussota, hoqueta, secoua ses passagers et finissait par s’arrêter là, toujours sur le bas-côté de cette route étroite. Et Patricia de s’inquiéter :
— ...
... Qu’est-ce qu’il y a ?
— J’en sais rien, plus… rien ne fonctionne. J’ai beau tourné la clef… que dalle. Y a même plus de jus. Je pige pas… j’ai fait le service avant de partir.
— Chut, du calme mon chéri… après tout, on est en vacances… et nous avons tout le temps.
— Ouais mais bon…
Désabusé, il regardait tout autour de lui. Il avisait une lumière à quelque chose comme une centaine de mètre. Déçue, elle se redressait et regardait en direction de la lumière. La pluie de redoubler. Cette lumière, c’était comme une planche de salut. Patricia de se serrer contre Pascal et de lui dire :
— Faut qu’on y aille. On y trouvera peut-être un téléphone.
— T’as raison. Va falloir courir… et vite.
— T’inquiète, je vais enlever mes talons.
Ensemble, en courant, ils abandonnèrent précipitamment la petite voiture. Ils passèrent par une petite passerelle qui enjambait la rivière et prenaient la direction de la lumière. Cette lumière faisait office de phare sous les nuages très sombres.
C’est en courant encore qu’ils parvenaient devant cette grande bâtisse, sous le petit toit au-dessus de la porte d’entrée. Seule une petite plaque dorée sur le côté de la porte indiquait l’utilité du lieu de manière laconique : Auberge. Un homme dans la quarantaine leur ouvrait. Ils ne prenaient pas le temps de le saluer et s’engouffraient dans cette auberge très isolée. Ils n’avaient croisé aucune maison depuis quelques kilomètre et encore moins durant leur course effrénée.
L’homme se ...