Dans la cabine du routier (1)
Datte: 07/07/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: mastermike, Source: Xstory
C’était un dimanche en fin d’après-midi et j’avais décidé d’aller faire un petit footing, tranquillement, profitant de la chaleur qui diminuait légèrement. J’essayais le plus possible de prendre les passages ombragés pour diminuer l’évaporation et garder mes forces. La sensation était malgré tout relativement agréable. Je n’étais vêtu en tout et pour tout que d’un petit short moulant sans slip. Je n’avais pas mis de haut et j’appréciais de ressentir la chaleur sur tout mon corps, ce qui m’excitait un peu, il faut le dire.
À un moment donné, j’ai décidé de prolonger par la zone industrielle. Cela ne faisait qu’un ou deux kilomètres en plus et j’avais encore quelques réserves. Il y avait sur un parking une rangée de poids lourds stationnés. Les chauffeurs devaient patienter jusqu’à 22 heures pour pouvoir reprendre la route. Je suis passé devant, ne faisant pas attention aux routiers assis à l’ombre de leurs engins, et discutant pour faire passer le temps. L’un des camions a fait des appels de phare, mais je n’y ai d’abord pas prêté attention. Lorsqu’il a recommencé, j’ai ralenti et j’ai jeté un œil dans la direction. Je distinguais vaguement quelqu’un dans la cabine, mais sans voir de quoi il s’agissait. Le chauffeur a à nouveau allumé ses projecteurs et cette fois, il a fait un petit signe de la main passée à travers la fenêtre ouverte.
J’ai fait un détour et je me suis approché de l’avant du tracteur. Le gars s’est penché vers moi et commencé à parler en ...
... souriant.
— Schön, sehr schön.
Il parlait allemand, et je ne comprenais pas tout. Tout en continuant de discuter, il m’a fait signe de faire le tour. Il voulait apparemment que je monte à bord. J’ai d’abord hésité, regardé autour de moi, puis je ne sais pas exactement pourquoi, j’ai contourné le véhicule et je suis monté.
C’était un homme d’une quarantaine d’années, blond, pas trop mal physiquement, musclé, la peau tannée par le soleil. J’essayais de comprendre ce qu’il disait, mais mes rudiments d’allemand ne suffisaient pas, d’autant plus qu’il parlait un dialecte avec un fort accent.
Je voyais cependant qu’il n’avait pas l’intention de parler de la pluie et du beau temps. Il passait sa main sur le haut de sa cuisse, et soudain sans prévenir, ou peut-être avait-il prévenu, mais je n’avais pas compris, il a sorti son sexe de son short, tout en continuant de parler en souriant. Il a commencé à se branler en me regardant. Il se caressait doucement, mais fermement et son sexe, d’une bonne taille était devenu bien dur. Me faisant signe, il a dit :
— Komm, komm !
Toujours sans trop savoir pourquoi je faisais cela, je me suis approché et me suis installé sur le siège du milieu pendant qu’il continuait à se tripoter et je les laissais faire pendant un moment. Il me regardait et regardait son sexe alternativement et je sentais sa respiration accélérer.
Il a alors pris ma main et l’a posée sur son sexe. Je suis d’abord resté ainsi sans bouger, un peu surpris. Je sentais les ...