De cocu ennuyeux à Sissy épanouie... (3) - Histoires de Sexe

De cocu ennuyeux à Sissy épanouie... (3)

... rebâtir une toute nouvelle relation, bien meilleur que celle d’avant ! Et je vais vous aider. Je sais où est partie ta femme lorsqu’elle a reçu les photos. Et je sais avec qui. Je vais pouvoir lui parler. Je vais l’aider à faire éclore son côté dominatrice. De ton côté, si tu veux que le miracle arrive, tu vas lui obéir, comme tu m’obéirais à moi !

— Mais, comment...

— Pas de questions sissy ! Je suis ta maîtresse, et toi, tu es la petite pédale de sissy qui obéit. Tu as bien compris ???

— Oui maîtresse !

— Tu es faible. Ce n’est pas un problème, si tu l’admets. N’oublie jamais que tu ne seras parfaitement heureuse qu’en obéissant. Laisse les décisions aux forts. Bien, maintenant, revois toutes les vidéos que je t’ai envoyées, avec le son ! Puis rentre chez toi. Et lorsque ta femme rentrera, tu lui obéis, quoi qu’elle te demande, compris !

— Oui maîtresse.

Je la vis disparaître, elle s’était déconnectée de la messagerie instantanée. J’eus alors un étrange sentiment. Un sentiment de soulagement. Maîtresse prenait les choses en main, donc tout irait bien. C’est vrai que c’était plus facile d’obéir, finalement.

Je regardais en boucle les vidéos, et cela m’excita à nouveau terriblement. Je bandais au point de devoir de nouveau me branler. Je me ruais aux toilettes pour le faire, mais cette fois, j’entrais dans un box w.c. ! Je baissais mon pantalon, descendis les bas, sortis mon sexe du string et le branlais furieusement... il ne me fallut que quelques ...

... secondes pour jouir. Un orgasme moins puissant que le précédent, mais qui me soulagea énormément... je sentis le sperme sur ma main, chaud, odorant... cette odeur entêtante... mue par la curiosité, je l’approchais de mon visage... je me demandais quel goût ça pouvait avoir... je léchais timidement la crème blanche sur ma main... c’était salé, un peu amer, chaud... à la fois étrange, et entêtant... j’allais lécher une seconde fois, mais soudain je pris conscience de ce que je faisais... honteux, le rouge aux joues, je sortis des toilettes, et claudiquais, pantalon et bas au niveau des chevilles, jusqu’au lavabo pour me laver les mains.

Puis je me rhabillais à nouveau, et rentrais chez moi, avec un peu d’appréhension au ventre.

Tout était noir à la maison, Julie n’était pas là. Elle avait dû commencer à préparer le souper, et avait tout abandonné comme ça. Je n’avais pas faim, trop d’appréhension, je m’assis dans le fauteuil et attendis. J’attendis presque deux heures avant qu’elle n’arrive. Elle entra, portant des sandales à talons hauts, et un imper. Elle se figea devant moi, me toisant du regard.

— Lorsque j’ai reçu les photos de toi par SMS, quel choc ! Toi en string et en collant, te branlant dans les toilettes de ton boulot... Etrangement, je n’ai pas été dégoutter. C’est comme... comme si une partie de moi le savait. Tu n’as jamais su prendre de décision. Agir en homme. Me satisfaire. Mais le choc était quand même là. Alors je suis partie chercher du réconfort là où ...