Léa - Mon esclave (6)
Datte: 06/07/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MaitreTristan, Source: Xstory
... Pardon maître !
...
— La salope était en train de se caresser sur mon lit, je l’ai chopée la main entre les cuisses.
— La vache, c’est vraiment une nympho ta copine, 3 heures de baise et elle se masturbe encore ?
— Ne t’inquiète pas, on va s’occuper de son cas. On va lui couper l’envie de se toucher sans autorisation, tu vas voir.
Léa entra dans la pièce, les yeux rivés au sol, honteuse. Ses longs cheveux bruns couvrant ses seins, mais laissant ses tétons bien durcis par l’excitation se dévoiler sous nos yeux. Son corps était vraiment magnifique : un visage d’ange aux cheveux longs, des seins bien gros et bien fermes (bonnet E pour rappel ...), un fessier à faire bander un mort et des petits pieds en adéquation avec sa petite taille. Elle s’agenouilla devant moi, et m’offrit la corde de ses deux mains.
— Pour vous maître.
— Va t’allonger sur la table du salon, sur le dos.
Je lui pris les mains, et les attacha derrière sa tête. Je passai la corde sous la table, et lui saisis une cheville que je verrouillai à un pied de la table. Je fis de même pour la seconde. Elle se retrouva donc avec les jambes bien écartées, la tête dans le vide, avec les bras complètement immobilisés. Je terminai par lui enfiler à nouveau le bandeau, la privant de sa vue, lui permettant de mieux se concentrer sur les sensations que son corps reçoit.
Je fis comprendre discrètement à mes convives qu’il n’était point question de la faire jouir rapidement, et que, bien au ...
... contraire, nous allions essayer de la laisser le plus longtemps possible au bord de l’orgasme.
Nous entamions donc notre petit jeu, Maxence et Eddy se partageant ses seins, léchant et mordillant ses très sensibles tétons. Olivier jouant très lentement avec un godemichet plutôt large dans son minou. Et moi, ayant la responsabilité de devoir jouer avec son clitoris, le plus possible, mais devant faire attention à ne pas lui autoriser l’orgasme.
Deux minutes à peine après le commencement de cette torture, elle manqua de jouir. Je lui fis rougir la chatte, lui assenant de petites claques à l’aide d’un paddle afin de la garder excitée, mais tout en la faisant revenir sur terre. Puis nous reprîmes notre petit jeu, la faisant se tordre de plaisir, mais encore et toujours sans orgasme.
Cela dura presque une heure, pendant laquelle nous échangeâmes nos rôles, où nous fîmes la sourde oreille lorsqu’elle nous supplia de jouir, encore et encore, hurlant de rage à chaque fois qu’elle sentit sa délivrance lui échapper. Elle devenait folle.
Son bouton était en feu, plus gros que je ne l’avais jamais vu ; son vagin complètement trempé, dégoulinant de cyprine et ses tétons meurtris.
Lorsque nous décidâmes que la torture avait suffisamment duré, nous la libérâmes et l’attachâmes à quatre pattes, tête contre la table, pieds et poings liés, jambes repliées et écartées (toujours). Je lui attachai le vibro sur son clitoris, bien collé à ce dernier, afin qu’elle ne puisse pas s’en défaire ...