1. Amanda CHAPITRE 6


    Datte: 11/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: samPandore08, Source: xHamster

    Chapitre 6: Dîner aux chandelles
    
    -Il est tard. Debout petite paresseuse!
    
    La voix de ma geôlière me tire du sommeil profond et réparateur dont je profitais. La lumière de ce donjon est à présent allumé et je bats des paupières en attendant de m'habituer à cette soudaine luminosité. "Il est tard"... Il y a une chose dont je prends maintenant conscience c'est que depuis que cette furie m'a enlevé elle a veillé à me faire perdre toute notion du temps. Je n'ai jamais su quelle heure il était et il n'y a aucune horloge ni dans son salon, ni dans sa cuisine et encore moins dans son donjon. La peur me saisit alors, j'ai l'impression que plusieurs mois se sont déjà écoulés depuis que j'ai été enlevé...
    
    Un bruit métallique me tire de mes pensées. Elle a jetée entre les barreaux une paire de menottes en acier.
    
    -Enfiles les! Ensuite tu sortiras peut être.
    
    Tout en me pliant à sa volonté je fais un douloureux constat, lorsqu'elle m'a trainé dans cette cage je n'étais pas attaché... Alors pourquoi ne pas avoir tenté quelque chose? Ha oui c'est vrai. Ma peau encore douloureuse me rappelle qu'à ce moment je n'étais déjà plus en état de combattre. Du reste, maintenant non plus je ne pourrais lui faire face si j'en juge par la douleur... Une fois les menottes verrouillées ma tortionnaire ouvre la cage et me fait signe d'en sortir. Je m'exécute et m'extirpe hors de la cage à quatre pattes comme un chien. Chaque mouvement faisant se tendre la peau de mon fessier me provoque une ...
    ... douloureuse grimace. Une fois sorti elle me saisit par les menottes et m'entraîne jusqu'à la cuisine sans dire un mot. Il doit être tard en effet. Car à travers la fenêtre je constate que le soleil est sur le déclin, nous devons être en début de soirée. Mais j'ignore combien de temps je suis resté endormi, tout comme j'ignore le temps qu'a duré cette horrible session de punition. Tout ce que je sais c'est que c'était beaucoup trop long.
    
    -Assise! M'ordonne d'une voix autoritaire ma geôlière tout en désignant une chaise posée derrière le plan de travail.
    
    A peine mes fesses posées sur la chaise qu'elle attache ma cheville à la table de travail avant de me retirer mes menottes. Puis elle pose sur le plan de travail un économe, une planche à découper, un couteau et cinq pomme de terres.
    
    -D'abord tu les épluches, puis tu les découpes en morceau pas trop fin et ensuite seulement tu m'appelles.
    
    Son ton n'est pas simplement autoritaire, elle me semble en colère. Comme si quelque chose l'avait énervée. Comprenant que la situation peut dégénérer à tout moment j'exécute ses ordres et commence par éplucher les patates. Mon attention est accaparée par les pelures et l'économe. Mon cerveau se focalise dessus au point que je mémorise chaque détails de ces patates, chaque petites imperfections. Je sais que je ne veux pas penser, ni à mon fessier douloureux dont le contact avec la chaise réveille de bien tristes souvenirs ni à ma situation dont l'issue la plus probable est encore la ...
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