1. Se découvrir (5)


    Datte: 04/07/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Stefi, Source: Hds

    Je lui ai demandé de se concentrer et mes yeux sont redescendus sur le plan. Au passage, j’ai constaté qu’il avait un début d’érection. C’est le problème de l’uniforme pour les hommes : tout se voit.
    
    Notre matinée de travail s’achevait, nous devions avoir bouclé le dossier en fin de journée et je savais que nous n’aurions pas trop de la pause déjeuner pour travailler. Il devait avoir fait le même constat lorsqu’il me proposa de se contenter d’un sandwich pour continuer à préparer le dossier.
    
    Nous sommes partis à la boulangerie la plus proche, avons pris nos sandwichs et nos boissons et nous sommes remis au travail. Au bout d’une heure, ma canette de thé glacé avait fait son effet et je lui ai dit que je devais me rendre aux toilettes.
    
    Seule, j’ai repensé à cette érection devinée un peu plus tôt et j’ai commencé à sentir mon sexe s’humidifier, et ce n’était pas de l’urine. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Lorsque j’étais à l’étranger, les journées se suivaient à un rythme soutenu et il est vrai que je n’avais pas trop le temps de penser à autre chose que les missions. Une fois ou deux dans le mois, je comblais le vide laissé par mon époux mais sans plus. Là, j’ai regardé l’entrejambe d’un homme !!
    
    Je suis retournée au bureau, bien décidée à terminer notre dossier. Mon jeune collaborateur avait les mains dans les poches et visiblement, il se touchait le sexe à travers le tissu. Il a immédiatement arrêté lorsque je suis entrée dans la pièce.
    
    Cela m’a troublée, au-delà ...
    ... du raisonnable. Il devait repartir le soir même dans son régiment et j’ai eu envie, non pas de lui, mais d’un sexe d’homme.
    
    J’ai approché ma main de son pantalon, il bandait indéniablement. J’ai frotté son sexe à travers son pantalon, ai baissé celui-ci avec son caleçon et sa queue a paru me jaillir au visage tant elle était raide. Je contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue qu'elle en vibre, je la trouve incroyablement dure.
    
    Mes lèvres se referment sur le gland qu'elles lèchent et sucent longuement. Elles l'avalent lentement. Je retire la queue jusqu'au gland, le gardant en bouche, le léchant par en dessous, puis j’avale toute la hampe. Sous les assauts de ma langue et à cause de l'onctuosité de ma bouche et de ma gorge accueillante, la bite paraît grossir. Mon jeune homme contemple émerveillé ma tête aller et venir, joues alternativement gonflées et creusées par la succion, le long de sa queue toute luisante de salive.
    
    Cela ne dure pas autant que je l’aurais voulu, il jouit sans bruit dans ma bouche et j’avale tout. C’est la première fois que j’avale du sperme qui n’est pas celui de mon mari. Je suis à la limite de l’orgasme et si je le l’avait pas fait jouir, une simple pénétration m’aurait fait crier.
    
    Je ne me reconnais pas et lui demande cette jouissance que j’attends. Il soulève ma jupe, écarte ma culotte, introduit deux puis trois doigts dans mon sexe et les fait coulisser à une allure folle. Je jouis en quelques minutes, ...
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