Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (1)
Datte: 04/07/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... traînée de gouttes de vin rouge sur le sol. Alors, tel le chasseur traquant l’animal blessé "au sang", je me poste au coin de la porte ; le vieux n’a pas perdu de temps, et après avoir tiré un seau d’eau de l’évier en béton, dans lequel il lave ses grosses bonbonnes de vin, il va chercher du sel. Puis délicatement, il dégrafe le haut de la robe de ma mère. Fébrilement, il tente de libérer les deux seins splendides de ma génitrice ! Celle-ci ne dit rien et semble participer à ce qui ressemble de plus en plus à des attouchements sexuels... car le vieux ne rate pas une occasion d’effleurer un sein de ma mère, en décollant le tissu de la robe empoissée de vin, et adhérant aux charmantes mamelles !
Ma mère, royale, le laisse s’occuper de sa robe souillée par le vin. Ayant tendu le tissu au niveau du ventre, il y passe une brosse pleine d’eau et de savon, avec laquelle il lave habituellement ses bouteilles vides. La scène est surréaliste et très excitante pour un petit voyeur malotru comme moi : ma mère assise sur le rebord du grand évier en béton, les deux seins à l’air, rouges de vin, avec sa robe dépliée sur le ventre, nettoyée par le vieux pervers. Lui se régale de mater la poitrine aux tétons bien dressés, et se permet même un commentaire flatteur sur la plastique mammaire de ma mère ! Ayant nettoyé le tissu blanc, il l’essore avec ses deux mains noueuses, après avoir fait lever ma mère, et lui ayant demandé de se pencher au-dessus de l’évier. Enfin, il y met du sel pour ...
... éviter un restant de tâches.
Et puis une petite tape amicale sur la croupe tendue de ma génitrice !
Fier d’avoir fait recouvrer au tissu une teinte à peu près blanche, il prend du sopalin et essuie lentement les deux seins... ma mère soupire !
Enfin, il rattache la robe. Je comprends qu’il est temps de prendre la poudre d’escampette, et de revenir à ma place, comme si de rien n’était.
Les deux, enfin revenus dans le salon de dégustation, où attend mon père, impassible, le vieux se déclare fier d’avoir pu "rattraper" la robe de ma mère de cette tragédie vinicole ! Il propose alors à mon père de lui offrir une bouteille de vin, pour la "gentillesse" de son épouse qui a connu ce désagrément et lui promet son meilleur cru, qu’il a en réserve dans une cave souterraine... à un prix défiant toute concurrence, en hommage à la "patience" de la dame !
Mon père sourit, il a obtenu ce qu’il voulait, peu importe pour lui ce qui a pu se dérouler lors du nettoyage !
Rendez-vous est pris pour dans deux jours...
Dans la voiture, ma mère, dégrisée des vapeurs éthyliques, est un peu énervée, elle reproche à mon père de l’avoir laissée tripoter par le vieux cochon de Grégoire Buisson, tout ça en espérant avoir son meilleur vin et pour pas cher ! Ma mère, certainement très hypocrite, est hors d’elle :
— Mais tu me laisserais me "prostituer" pour du vin ! Du vin ! Ce vieux porc n’a cessé de me reluquer, de mater mes cuisses ouvertes ! Je suis sûre qu’il a vu ma culotte ! Et ...