L'art de la langue
Datte: 04/07/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
rencontre,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
Sur son vélo jaune, Lydie ne passe pas inaperçue. Et pas seulement parce que ses cheveux, qu’elle porte attachés, sont assortis au cadre. C’est qu’elle s’arrête à chaque porte et même à chaque boîte aux lettres. Lydie est factrice. Après le tri du matin, qu’elle classe dans sa grosse sacoche, elle distribue le courrier dans son quartier habituel dont elle connaît désormais chaque porte. Sa silhouette grande et forte est bien connue des habitants. C’est une sportive qui a longtemps pratiqué l’athlétisme. Le lancer du disque. Pas un truc pour minettes. Mais elle a conservé un physique appréciable à force de pédaler sur sa grosse bécane qui, avec le sac, doit peser dans les 25 kg.
Lydie est mariée et mère de famille. Un mari de son âge (trente-cinq ans) qui travaille lui aussi à La Poste. Et deux gamins à l’école dont elle s’occupe l’après-midi, quand sa tournée est finie. C’est l’avantage de se lever de bonne heure. Le mari, lui, occupe la tranche horaire suivante. C’est plus pratique pour les enfants.
Alors, une vie bien rangée de petite fonctionnaire des services postaux ? Oui, la plupart du temps. Mais Lydie a un petit jardin secret. Tous les jours, aux alentours de midi, sa tournée l’amène chez M. Robert, un retraité élégant qui vit seul. La première fois, c’était pour signer le reçu d’un colis. La deuxième, un recommandé. La troisième, il l’a invitée à entrer pour prendre un verre. Il faisait une chaleur de four, Lydie crevait de soif. Et sa tournée était presque ...
... terminée. M. Robert lui a raconté sa vie. Sa carrière au ministère des Affaires étrangères. Ses missions un peu partout dans le monde. Lydie était fascinée. M. Robert, c’était autre chose que les petits fonctionnaires miteux de son entourage.
Au bout de quelques semaines, une certaine intimité est née. Lydie lui avait raconté ses soucis d’argent. Le couple avait acheté une maison et les petits salaires avaient du mal à suivre. M. Robert a fait un chèque. « Vous me rembourserez plus tard », a-t-il simplement dit. Lydie en a été toute confuse. Elle ne savait comment le remercier. Enfin, elle savait un peu… M. Robert avait les mains un peu baladeuses. Surtout sur ses fesses, il est vrai, généreuses. Lydie laissait faire, jusqu’au jour où M. Robert lui a demandé une faveur :
— S’il vous plaît, j’ai envie de vous voir nue. Je n’ai pas vu une femme nue en vrai depuis très longtemps. Ne vous inquiétez pas, je suis impuissant.
Lydie a hésité. Elle avait envie de faire plaisir à M. Robert, mais de là à se mettre à poil devant lui…
— S’il vous plaît, juste les seins.
Il faisait chaud et elle n’avait pas grand-chose à enlever. Après tout, si ça lui faisait plaisir… Elle lui devait bien ça. Lydie exhiba deux superbes seins en poire, lourds et fermes. M. Robert y logea son visage comme dans un doux oreiller et téta comme un enfant. Lydie en fut à la fois émue et émoustillée. Michel, son mari, ne prenait pas tant soin de sa poitrine. Elle se rhabilla et quitta les lieux ...