Une vie pas comme les autres (3)
Datte: 04/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... dessus, j’ouvre ma bouche et commence à descendre sur lui, il n’est pas complètement en érection, c’est plus facile, je l’englobe entièrement. Contre toutes attentes, j’éprouve un immense plaisir à avoir ce sexe dans la bouche, je sens même que mon propre sexe réagit, il s’humidifie. Je titille son gland avec ma langue, le pompe, le suce, le lèche. Il devient de plus en plus dur, je finis par avoir un bout de bois dans la bouche. Il commence à bouger du bassin, ça lui plaît. Je continue, encouragée par ses premiers mouvements, plus je m’active sur son sexe, plus je le sens bouger et se tendre.
Son ventre se crispe, il commence à soulever ses fesses, je sens son sexe commencer à palpiter, il va jouir. Cette situation m’excite encore plus, je passe mes mains sur ses fesses et l’attire encore plus à moi. Je sais qu’il va jouir dans ma bouche, mais je me suis préparée à recevoir sa crème de vie et à l’avaler, les autres femmes le font bien, pourquoi pas moi en preuve d’amour.
— Oh ma chérie, j’arrive, je t’aime, je t’aime.
Je reçois un violent jet de sperme dans la bouche, je réussis à déglutir le premier juste avant de recevoir le second, moins violent, mais tout aussi volumineux. Un troisième suit plus petit, pour finir par un dernier reliquat de sperme. J’ai les larmes aux yeux, je viens de boire à la source de vie d’un homme, c’est la première fois, je vais fondre en larmes. Il me prend par les épaules et me fait glisser sur lui, il remarque que je suis au bord ...
... des larmes.
— Tu ne vas pas pleurer ma chérie ?
— C’est de bonheur, le bonheur de t’avoir rendu heureux.
— Et bien si ça te fait pleurer, tu vas pleurer toute ta vie, je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie. Je t’aime Laurence, je t’aime.
Je me blottis contre lui, nous restons un bon quart d’heure collés l’un à l’autre sans parler. Il finit par se lever, je le regarde s’éloigner vers la cuisine, il est magnifique, calme, serein, heureux. Je me lève, quand j’arrive dans la cuisine, je le vois sortir de la maison, nu.
— Hubert, tu n’as rien oublié ?
— Non, ne t’en fais pas, ici, nous sommes à l’abri des regards, mais de toute manière, j’aime être nu et rien ne m’en empêchera, toi aussi si j’en juge à ton bronzage.
— Oui, c’est vrai que j’aime être à poil, je me sens libre.
— Eh bien, rejoins-moi.
Je sors de la maison, nue, il fait bon, je rejoins Hubert dans un petit jardin en face de la maison, il n’y a pas grand-chose, seulement des fleurs.
— Tu ne fais pas de jardin ?
— Non, je ne suis pas un paysan, je n’ai pas la patience, j’ai mis des fleurs qui poussent toutes seules, juste les arroser de temps en temps, ça me va.
Je viens contre lui, il y a une énorme touffe d’herbe, je l’attrape et le fais basculer dessus, il s’assoit.
— Tu veux faire quoi ?
— L’amour, laisse-toi faire.
— Tu n’as pas oublié que tu viens de me faire jouir ?
— Non, et alors !!
— OK, OK.
Il s’allonge sur l’herbe sur le dos.
— Je suis à toi.
Je ...