Formateur est un beau métier – Coraline - Histoires de Sexe

Formateur est un beau métier – Coraline

... plaisir de profiter honteusement de toi !
— Et tu fais quoi depuis tout à l’heure ? Du tricot ?
— Je joue, je ne profite pas, nuance !

Son anus percute à nouveau contre la cime du gode. Coraline s’écrie :

— Houlà, l’est énorme, celui-là.
— Il est souple, très souple, tu verras.
— On voit bien que c’est pas toi qui dois te le farcir ! Je dois être folle de faire ce que tu me demandes !
— C’est normal, tu es folle de moi !
— C’est malin ! Oooh ! !

Une partie du gland synthétique est entré partiellement en elle. Coraline s’abaisse un peu plus, le gland disparaît complément.

— Oh bordel ! C’est… c’est étrange… mais c’est vrai qu’il est mou, mais c’est quand même énorme, ton truc !

Elle soupire abondamment, ses fesses s’abaissent lentement mais sûrement. L’élasticité du gode liée à la malléabilité du rectum fait que ça rentre sans trop de dégâts. Coraline est à mi-chemin. Elle demande :

— Y’en a encore beaucoup ? Parce que je le sens bien passer ! !
— Est-ce que tu as mal ?
— Non, pas vraiment… Je me sens remplie à fond, prête à exploser comme un ballon ! Oooh !

Cependant, le volumineux intrus continue toujours de s’enfouir en elle. Telle que je la connais, Coraline ferme sans doute les yeux, tout son corps frémit, mais toujours et encore, le pieu de latex progresse inexorablement.

— Ah ! Je… j’ai réussi à tout mettre ? C’est dingue de chez dingue !
— Comment te sens-tu ?
— Ce… je me sens remplie, mais remplie ! Comment tout ce machin a pu entrer ...

... en moi ?
— Le corps humain possède des caractéristiques insoupçonnées… Bon, ne bouge plus !
— Pourquoi ?

Ma langue dans sa fente lui fournit tout de suite l’explication. J’ai envie de la faire jouir avec cet énorme pal enfoncé dans son petit trou du cul. Un plaisir spécial, je suppose, mais comme Coraline aime à la fois les nouveautés et les trucs qu’elle n’a pas encore faits, ça devrait le faire sans souci.

— Oh, mais quel gros salopiau, ce type ! Oooh ! Aaah !

Je continue, Coraline mouille déjà abondamment. Elle oscille, elle se tortille, elle tangue dans tous les sens. Elle proteste faussement :

— Gros salaud, va ! Petite ordure ! Tu profites que j’ai ce truc énorme dans le cul pour me faire mon affaire ! Oooh ! Ouiii !

Je ne réponds pas, je suis trop occupé à exacerber son clitoris si sensible. Le cul envahi, la chatte en feu, Coraline pousse des tas de petits cris inarticulés. Puis dans une longue plainte étrange et rauque, son corps est totalement envahi par une puissante jouissance qui la ravage de la tête aux pieds. Je suis moi-même étonné de ce tsunami qui s’empare d’elle !

Quelques minutes plus tard, bien captive entre mes bras puissants, le bandeau ôté de ses yeux, Coraline réémerge :

— Ah putain de putain ! C’était ultra intense !

Ce que j’aime en elle, c’est son côté nature. Elle me le confirme en se tâtant les fesses :

— C’est pas vrai, je l’ai toujours dans le cul ?
— C’est parce qu’il s’y plaît bien, ma chérie !
— C’est plus un ...