1. Le projet artistique (45)


    Datte: 03/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... aussi une grosse noix et l’étalai le long de mon sexe.
    
    — Germain et Felipe, un peu plus. Là c’est mieux. Maintenant, remettez un peu vos doigts avant de tenter la pénétration.
    
    Nous fîmes comme l’indiquait Paul. Ma main droite enculait Amandine alors que la gauche finissait d’étaler le gel sur ma queue.
    
    — Bien maintenant, on va y aller. Tout en douceur surtout.
    
    — Allez les filles. On y est. Ils vont juste rentrer le gland et faire une pause. Soufflez bien, relâchez-vous au maximum et continuez à vous branler.
    
    Je posai mon gland sur l’œillet de ma copine. J’entendais sa main s’agiter sur sa chatte. Un "flop, flop, flop" général se faisait entendre d’ailleurs.
    
    — Allez, un deux trois, on pousse. Là voi... là.
    
    Paul venait de rentrer son gland sans qu’Elisa n’en souffre ; en même temps, elle maîtrisait la pratique. C’était à moi maintenant, je poussai mon gland dans le cul de ma petite amie. Il rentra en forçant un tout petit peu.
    
    — Incroyable, je viens de mettre ma queue dans le cul de ma copine ! me dis-je.
    
    — On ne bouge pas maintenant. Marie souffle, détends-toi, lui dit Paul. Liz aussi.
    
    Apparemment, c’était les deux qui douillaient le plus. Pour Marie, ça ne m’étonnait guère, plus pour Liz. Je voulais aller tout au fond de son cul, c’était difficile de se contrôler.
    
    — Allez, Marie et Liz, soufflez, relâchez, les encouragea Elisa.
    
    — Oui voilà, c’est mieux.
    
    Je tournai mon regard vers elles, elles semblaient ne plus souffrir. Elles avaient ...
    ... dû se crisper plus que nécessaire. En même temps, je pouvais le comprendre. J’osai à peine imaginer comment je réagirais à leur place.
    
    — OK maintenant, poussez jusqu’à la moitié de votre longueur, un peu moins pour toi Germain.
    
    Je poussai lentement jusqu’à entre la moitié de ma queue en Amandine. Elle ne sembla pas trop souffrir encore une fois.
    
    — Si ça va, les filles, vous levez le pouce quand on peut aller au bout.
    
    Elisa leva tout de suite son pouce. Sylvie et Carine quelques secondes après. Puis Amandine me fit signe d’y aller. Avant de pousser plus loin, j’eus le temps de voir Marie et Liz lever leurs pouces. Elles étaient toutes courageuses quand même. J’étais un peu admiratif de ces femmes. D’un coup, je ne les voyais plus comme des étudiantes, des jeunes filles, mais vraiment comme des vraies femmes. Et je ne disais pas ça à cause de la sodomie en cours. Je le pensais parce qu’elles se donnaient à nous alors qu’elles ne voulaient pas en entendre parler au départ. Elles avaient pris soin de nous aujourd’hui comme une épouse aurait pris soin de son mari. Elles étaient aussi libres, fortes, indépendantes.
    
    Je poussai en elle en me disant qu’à la moindre douleur, j’allai me retirer de son cul. Je poussai, poussai pour m’enfoncer complètement. Paul, Felipe, Olivier étaient déjà au bout. Esteban finit juste après moi. Je m’inquiétai pour Germain et Marie. Celui-ci y allait centimètre par centimètre. Marie grimaçait un peu, mais semblait pouvoir compenser avec sa ...
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