Le projet artistique (45)
Datte: 03/07/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... impression était la bonne. Nous avions raison, donc nous décidâmes qu’il était temps de les libérer. Je replongeai sur la chatte d’Amandine et augmentai ma léchouille sur sa vulve. Je concentrai ma langue sur son clitoris tout en entrant un doigt dans son vagin.
Rapidement, Amandine changea ses soupirs en gémissements appuyés puis même en cris. Elle n’était d’ailleurs pas la seule à faire jouer ses poumons pour exprimer son plaisir. Je la sentais toute proche de l’extase. Elle fut tout juste devancée par Elisa qui lâcha un très long et très fort "Ja". C’était la première fois que je l’entendais jouir si bruyamment. J’aurais bien voulu voir dans quel était Paul avait mis sa femme, mais je devais rester focalisé sur la mienne. Elle jouit deux ou trois secondes après la prof d’allemand.
— Aaaah, aaaah, aaaaaah.
Elle avait déjà crié fort comme ça à d’autres occasions, mais ce fut l’explosion de mouille qui aspergea mon visage qui me surprit le plus. Jamais elle n’avait fait ça. Je n’eus pas le temps de me satisfaire de ma performance que déjà, Carine puis Liz lâchèrent deux très longs "Oui" comme en écho l’une à l’autre. Ne restaient plus que Sylvie et Marie. Elles ne tardèrent pas à succomber aussi dans un grand cri orgasmique. A peine dix secondes avaient suffi à ce que ces demoiselles prennent leur pied quasiment en même temps. Elles ne bougeaient pas, elles haletaient, cherchant à reprendre leur souffle. Je m’assis et contemplai le cul d’Amandine, sa chatte, son ...
... petit trou et toutes ses cuisses étaient trempées. Je sentais aussi que mon visage et mon cou avaient été bien aspergés. Je regardai autour de moi, je vis l’état de l’arrière-train d’Elisa qui était le même que celui d’Amandine. Un peu plus loin, celui de Carine me paraissait tout aussi dégoulinant.
Je ne voyais pas le cul des autres filles, mais à en croire le visage et le cou des copains, elles avaient dû éjecter une grande quantité de mouille.
Cette petite gâterie avait permis à nos bites de reprendre une bandaison complète. Une fois qu’elles reprirent leur souffle, elles nous remercièrent pour cet orgasme qu’elles qualifièrent d’exceptionnel. Mon orgueil de coq de basse-cour en fut particulièrement touché. Elisa s’adressa alors aux filles :
— Mes chéries, vous êtes toujours partantes ?
— Partante pour quoi ? me dis-je.
— Oui.
Dirent Amandine, Sylvie et Liz.
— Oui surtout avec ce qu’ils viennent de nous faire, argua Carine.
— Marie ? demanda Elisa.
— Oui aussi. Je veux le faire.
— Elles veulent faire quoi bon sang ? me dis-je.
Ça me tracassait et faisait marcher ma boîte à fantasmes.
Elles n’avaient pas bougé d’un pouce, offrant toujours leurs culs à notre vue. Je n’avais qu’une hâte, c’était de plonger ma bite dans cette chatte brulante.
— Les garçons ? Ecoutez-moi.
Le sérieux d’Elisa nous surprit. Je m’inquiétai un peu du coup.
— Pour ce week-end, nous avions prévu de vous faire comme cadeau surprise nos chattes épilées. Je crois ...