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Angela, belle-mère cochonne, se tape son fils... (2)
Datte: 01/07/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory
... Je l’attrapai et me remis à le masturber. — Hé bien mon salop, ça te fait du bien, ce que ta mère te fait. Tu aimes bien te faire enculer on dirait ?? Martin n’osa pas répondre. Il fermait les yeux et avait honte de prendre du plaisir à se faire pénétrer par le cul, lui le macho, fier de sa puissance masculine. — Angela, ton fils est excité. Arrête-toi, on va échanger. Moi aussi j’ai envie de jouer avec son cul. Toi tu vas passer sous lui et tu vas le sucer ! Ma belle-mère ne disait plus rien. Elle subissait mes caprices, obéissant à mes ordres. Elle s’allongea au sol, passa par dessous Martin, et mit sa queue dans la bouche. Pendant ce temps-là, je continuai à déplacer la carotte dans le cul de Martin. Celui-ci avait de plus en plus de mal à cacher son plaisir. Les yeux fermés, il jouissait de ce plaisir honteux à ses yeux. La fellation de sa mère n’arrangeait rien. Et puis brusquement, il ne put se retenir. — Haaa merde... je vais venir ! Maman, arrête-toi ! Mais Angela n’obéit pas. Elle continua à le sucer comme si elle n’avait pas compris ce qui allait se passer. Ou alors elle avait très bien compris, mais ...
... attendait ce moment avec impatience. Martin explosa alors dans sa bouche. Il se mit à jouir à grand renfort de gémissement et grognements, expulsant son foutre dans la gorge de sa cochonne de mère. — Continue Angela, suce-le encore ! ordonnai-je. Jusqu’au bout ! Et avale tout ! Je ne veux pas une goutte de sperme au sol ! Angela avala tout, ne laissant pas une goutte du précieux liquide se perdre. Et moi je jubilai. Les deux se relevèrent, tout penauds, les yeux baissés, rouges de honte. — Hé bien ! Vous êtes des beaux cochons tous les deux. Et en plus vous avez aimé ça ! Je me tournai alors vers ma belle-mère. — Bon ça m’a donné très faim, tout ça. Angela va nous préparer à manger ! — Je peux me rhabiller Carole ? — Non ! Tu n’as pas entendu ? En ma présence tu restes à poil. Tout le temps. Et puis je n’en ai pas fini avec toi. Tout à l’heure, après le repas, tu lècheras un peu ma chatte. Vous m’avez excitée, tous les deux. Tête baissée, elle se dirigea vers la cuisine... Mon mari me regardait, les yeux écarquillés. — Tu es folle Carole. — Peut-être. Mais qu’est-ce que je m’amuse ! Et j’éclatai de rire.