Anne et la Sodomie (1)
Datte: 01/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Marin Du Monde, Source: Xstory
... bouger pour qu’elle se détende, puis je recommence à pousser pour gagner un peu de profondeur. Je me relève un peu pour voir l’ensemble de la scène : ma femme est magnifique, entièrement dédiée à ma bite plantée dans son cul, elle se donne entièrement à mon plaisir. Je lui caresse le dos et les fesses tout en faisant aller et venir ma bite dans son anus sur un ou deux centimètres de profondeur seulement. Son cul ne se desserre pas. Tant mieux. Alors je la baise, son cul est à moi, je le prends. Pour amener ma bite au fond, il faudrait plus de lubrifiant, mais je ne veux rien interrompre. J’ai le gland tellement gonflé que je prends mon pied à lui limer l’entrée et je continue. Pas plus de cinq ou six centimètres maintenant rentrés dans ses fesses, mais c’est parfait : elle se masturbe de la main droite pendant que je l’encule. J’essaie de l’embrasser, mais elle est trop absorbée par sa sodomie, si elle focalise sur son plaisir alors je vais focaliser sur le mien et m’assurer de lui refaire le cul comme le mérite ma petite femme. Je passe ma main droite sous ses seins que je masse tandis que mon gland mène la danse dans ses fesses. Je me concentre sur ma bite pour bien enregistrer les délicieuses sensations.
D’habitude, je l’encule plus profond, mais là, c’est illusoire et surtout inutile tellement je prends mon pied. Je la baise encore et encore. Je me rends compte qu’elle a joui, car elle ne se masse plus le clito, j’approche une main de sa chatte, mais elle la ...
... repousse. Surtout, ses gémissements ont changé : elle commence à subir. J’aime toujours ce moment où la sodomie lui fait un peu mal, mais où il est hors de question que cela s’arrête et puis c’est bien qu’elle se soumette un peu. Cela veut aussi dire qu’il va falloir que je jouisse, je ne peux pas faire durer ça éternellement (sauf si elle le mérite, mais pas le cas ici. A fortiori, si je la sodomise trop, elle a mal au cul plusieurs jours après coup et c’est laborieux pour y revenir). Lui jouir dans le cul sera un jeu d’enfant, je gonfle mon gland et le fais bien frotter sur l’entrée du trou du cul toujours aussi serré, de temps en temps, je pousse fort, ça ne rentre pas beaucoup plus profond, mais Anne gémit. J’adore. Je sens mes couilles qui se tendent, mon gland est aux anges. Une des meilleures sodomies depuis longtemps. J’ajuste la profondeur, car je veux jouir près de l’entrée (peut-être fera-t-elle un prout de sperme au retrait si le jus n’est pas trop profond et je rêve de voir ça, dans tous les cas, elle aura moins de mal à faire sortir la semence). Ça monte, je focalise bien sûr la rondelle en train de se faire défoncer, je pousse quelques dernières fois et dans un grand râle, je jouis dans son cul en continuant à aller et venir. Encore quelques poussées pour m’assurer qu’elle ait bien la sensation du sperme dans le cul (Anne trouve humiliant pour une femme d’avoir du sperme dans l’anus et c’est un honneur de l’humilier de la sorte). Mon orgasme est long et je prends mon ...