1. La fête du bac (2)


    Datte: 01/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: excalibur81, Source: Xstory

    ... Bien sûr que oui, il n’y avait pas un bruit quand je suis passé devant la porte.
    
    Ils dorment ...
    
    Je repense à la poitrine de Léa. Je pourrais donner beaucoup rien que pour la caresser une fois. J’ai baissé mon slip pour m’astiquer en repensant à la belle fille du voisin. Je l’imagine avec moi sur le bord de la piscine. Elle est topless, je lui passe de la crème, elle m’en demande toujours plus sur ses seins, ses cuisses, ses fesses. Mon sexe est bien dur à présent. J’imagine ma main jouant avec sa poitrine. La main, cette main ... Ce n’est pas la mienne, c’est celle de Enzo. Je m’arrête, rouvre les yeux. Il est avec ma fille. Je dois en avoir le cœur net. J’allume mon PC et active la caméra de l’ordinateur de ma fille. Comme d’habitude, elle ne l’a pas fermé pour la nuit.
    
    Sur l’écran une forme semble se dessiner sur le lit, je règle la luminosité, augmente le contraste. Je vois Enzo allongé, ma fille entre ses jambes le sexe du garçon dans sa bouche. Je zoome sur son visage, elle le regarde. Aucune contrainte ne se lit sur son visage. Enzo a les yeux fermés, les bras croisés derrière sa nuque. Je ne sais pas si c’est la première fois, mais ma fille a l’air de bien connaître son affaire. Le gland du garçon est entièrement gobé par ses lèvres et sa tête tourne autour du sexe de l’adolescent tandis qu’une main astique le pieu épais du garçon. Parfois, elle relève la tête pour parler, malheureusement le son de sa voix est trop faible et je ne peux comprendre ce qu’ils se ...
    ... disent. Elle reprend sa besogne après un sourire. Elle a l’air fière de ce qu’elle fait. Je la regarde, ce visage qui me rappelle celui de sa mère quand nous nous sommes rencontrés. Lui est nu, ma fille à son traditionnel trop large t-shirt qui lui sert de chemise de nuit.
    
    Enzo se redresse sur ses coudes pour regarder ma fille. Je ne peux m’empêcher de regarder la scène. A nouveau, j’ai un sentiment étrange, honteux de regarder ma propre fille en train d’apprendre les joies du sexe, mais terriblement excité par ce que je vois. Mon sexe est dans la main et je le masturbe devant mon écran. Physiquement, elle ressemble à sa mère, c’est indéniable. Pourtant cette dernière n’a jamais voulu me prendre dans sa bouche, trop sale à son goût, trop dégradant. Mes yeux regardent sa tête tournoyer sur le sexe de son copain. Sa main astique la tige épaisse de mon footballeur au même rythme que la mienne sur mon propre dard. J’envie ce garçon tout autant que je déteste de le voir corrompre ma propre fille. Mais elle a dix-huit ans, elle est grande maintenant, majeure et vaccinée. A la télé, dans les revues pour femmes, on nous incite à trouver ça normal. Pourtant à mes yeux, elle reste ma petite fille, mon Emma. Je me masturbe en la regardant.
    
    Je dois respecter la norme, cette nouvelle norme qui me dit que c’est normal à son âge. J’ai ce sentiment étrange de jalousie et d’envie entremêlées.
    
    Sur le lit, Enzo retombe prestement sur le dos. Je vois son bassin qui se met à onduler. Sa ...
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