Safari De Dépravation - Ch. 03
Datte: 30/06/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bysissyHelene314, Source: Literotica
Œuvre originale : « Safari of depravity », de Scatwoman (crédit à MercySlayer pour l'inspiration), traduite et publiée en français par sissy Hélène314 avec l'aimable autorisation de l'auteure.
Vous pouvez contacter Scatwoman pour lui faire part de vos commentaires (en anglais).
Vous pouvez aussi commenter mon travail ci-dessous (ne soyez pas trop sévères s'il vous plaît c'est ma première traduction et je suis loin d'être un professionnel ou un écrivain, je fais ça à mes heures perdues)
Partie 3 : « Une nouvelle vie »
Au cours du mois suivant, Hannah fut systématiquement enculée d'abord par le chef, puis laissée à la merci des autres hommes. Elle se balançait maintenant de haut en bas pendant que sa chatte et son cul étaient utilisés, ne faisant même plus semblant de résister. Et elle jouissait si souvent que Dylan se demandait si elle pouvait maintenir un certain degré de conscience.
Dylan était lui aussi enculé, mais seulement par les adolescents. Le couple blanc était parfois délié, nettoyé et autorisé à se reposer, puis de nouveau suspendu entre les arbres.
Ni l'un, ni l'autre ne mangèrent plus de vraie nourriture ni ne burent d'autre boisson que du sperme et de la pisse. Ils ne vivaient que sur un régime de merde humaine et de divers autres animaux (zèbre, chien, hippopotame, rhinocéros, et même éléphant), et parfois même celle de leur conjoint (Dylan pour Hannah et inversement). Dylan dût de nouveau s'occuper du cul de sa femme, mais à chaque fois ...
... uniquement pour manger sa merde très noire, concentrée et recyclée (parfois sous forme de diarrhée) ou pour boire le sperme et la pisse qui y avaient été déposés par le chef ou d'autres indigènes. Ce cul était méconnaissable pour Dylan : ce n'était plus le petit derrière mignon et serré dont il était tombé amoureux. Maintenant, il en sortait de la diarrhée ou d'énormes crottes qui remplissaient sa bouche, il n'était plus capable d'émettre les petits "toots" mignons dont il ne gardait déjà plus qu'un vague souvenir. Son anus et son sphincter ne se refermaient jamais complètement, et ses pets bouillonnaient à travers le sperme visqueux qui remplissait en permanence son canal anal. Désormais, son bouton rose jadis joli et serré était un trou à merde distendu, constamment utilisé et abusé, perpétuellement béant, le genre que vous trouveriez sur une pute de caniveau à deux dollars dans un parc à roulottes. La langue de Dylan ne lui donnerait plus jamais de plaisir. Au bout de quelques temps, les deux époux ne se parlaient plus, et ne se reconnaissaient même plus.
Les autochtones continuèrent à nouer un lien autour de la bite de Dylan, et ce dernier arborait maintenant une érection continue et douloureuse, qui n'était que peu apaisée par des éjaculations explosives, occasionnelles et incontrôlables qui survenaient quand il était violé ou nourri de merde.
De plus, Dylan remarqua qu'il avait commencé à développer des seins et qu'à l'inverse, ses boules et son pénis avaient rétrécis. ...