Martha (2)
Datte: 29/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Sexvista, Source: Xstory
... finalement juter sa semence sur mes fesses, rougies par les coups de badine. Mon époux exige que je lui nettoie le gland avec ma langue.
Je suis ensuite soumise au spectacle de mon mari exerçant son "droit de cuissage" sur la femme du garde-chasse. C’est le métayer qui lui amène l’épouse consentante, déjà en culotte et soutien-gorge. C’est une femme de 40 ans, une belle rousse, cheveux longs, yeux verts, mais d’assez forte corpulence. Le métayer la met nue, couchée sur la table ses grosses cuisses repliées, sa chatte et sa raie sont très poilues, des poils roux longs, une pilosité naturelle non entretenue qui laisse apparaître un gros clitoris bourgeonnant.
Mon époux, pourtant plutôt adepte de sexes féminins bien taillés, lui dévore d’abord littéralement la chatte et l’anus, puis la besogne sur le bord de la table. Sa tête dodeline, elle ressent visiblement beaucoup de plaisirs. Il faut dire que mon époux est bien monté et très endurant. Il fait signe au métayer, qui présente sa verge à la bouche de la rousse qui l’enfourne prestement.
Les deux hommes éjaculent presque en même temps, aspergeant le corps de la femme de longs filets blanchâtres.
Ce que j’ignore c’est que mon amant, le garde-chasse, a assisté à toute la scène ...
... depuis la pièce voisine à travers un miroir sans tain. Il me confie avoir pris beaucoup de plaisir à observer la séance de badine avec le tressaillement de mon cul à chaque coup, puis mes cris de jouissance lorsque la grosse queue du métayer était entrait et sortait de ma chatte, et enfin le clou, la saillie de son épouse par son patron, son hurlement lors de l’orgasme, et la vue du chibre violacé du métayer coulissant dans la bouche de sa femme jusqu’aux giclées finales.
J’ai revu le garde-chasse secrètement pour des séances de baises toujours aussi intenses. Il m’a avoué qu’il s’était masturbé en matant la scène, que sa femme avait apprécié la saillie patronale et qu’elle était partante pour renouveler des expériences libertines. Et j’ai demandé à mon époux que le métayer soit puni pour m’avoir tutoyée.
— Ah bon ? Et comment donc ?
— Je te raconterai ça en détail un autre jour. Mais, dis-moi, je vois que cette histoire t’excite si j’en juge par le relief de ton entrejambe.
— Oui j’ai la trique, j’ai de nouveau très envie de toi, de te bouffer le minou, pourquoi pas ici, dans cette salle.
— Sois pas si pressé, je vais continuer à te raconter un peu ce qui s’y passait. Tu vas voir, ça ne va pas te faire débander.
A suivre