1. Ma voisine est une chaudasse (3)


    Datte: 29/06/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    J’étais encore content d’avoir aidé ma voisine. Surtout qu’elle m’a avoué que cela ne s’arrêterait pas là. J’avais son numéro. Elle avait le mien. Malheureusement, les semaines qui suivirent furent très compliquées pour se voir. Je devais réellement étudier, en pleine période d’examens et mes parents ne partaient plus du week-end. Je passais donc mes week-ends à étudier. J’essayais parfois de lui envoyer un message, mais elle était au courant de la situation et m’avait interdit de lui parler jusqu’à la fin de ma session. Autant vous dire, pas avant un mois. Trois semaines d’examens et une semaine en camping avec des amis, juste avant l’annonce des résultats. À chaque fois que je pensais à elle, à ses seins lourds, ses cuisses charnelles, son sexe sombre, je bandais et c’est souvent en me remémorant les souvenirs de ces deux aventures que, tard le soir, alors que tout le monde dormait à la maison, que je me faisais jouir.
    
    Je commençais à voir, dans les femmes plus âgées, une sensualité et une sexualité qui me faisaient fantasmer. Je me suis même surpris à regarder la rondeur des seins de ma mère, à une ou deux reprises.
    
    Un mois plus tard, je me retrouvais officiellement en vacances. Avec les amis, nous avions fêté cette fin d’année au camping. Nous avions ouvert une bonne bouteille avec mes parents à la réception de mes résultats. J’avais tout réussi. J’étais tranquille pendant deux longs mois. Allongé, dans mon lit, j’écoutais de la musique alors que mon téléphone ...
    ... vibrait, signe que je venais de recevoir un nouveau message. J’étais étonné et regardai qui pouvait bien m’en envoyer un. La voisine. J’étais surpris. Surpris de ne l’avoir pas recontactée plus tôt et surpris que cela soit elle qui reprenne contact après cette pause. Elle me demandait de venir la voir. À la lecture de ces brefs mots, mon sexe s’érigea à moitié sous mon boxer et mon appétit sexuel revint en force. J’éteignis la musique, me relevai du lit et enfilai un t-shirt propre. Je passai une main dans ma tignasse désordonnée avant de descendre.
    
    J’annonçai à mes parents que j’allais faire une balade. Je ne pouvais pas leur dire que j’allais voir la voisine. Ils ne savaient pas que j’avais son numéro. Et cela m’aurait valu des questions gênantes et une perte de temps. Temps que je ne voulais pas gaspiller. Ma mère marmonna alors qu’elle était sur la terrasse et je me dirigeai d’un pas rapide vers la maison de la coquine quadragénaire. Les quelques centaines de mètres qui séparaient nos habitations me semblaient des kilomètres. Ma queue ne désenfla pas sur tout le trajet. Elle était allongée sur une chaise pliante, dans son jardinet, à l’avant. Elle avait une courte robe bleue avec des motifs floraux. Elle me vit du coin de l’œil, car elle écarta ses jambes. La robe remonta légèrement et je devinai l’étoffe noire de son sous-vêtement. Je regardai autour de moi. Je ne voulais pas qu’on me surprenne. Elle se releva de sa chaise et rentra chez elle, laissant la porte ...
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