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Le projet artistique (72)
Datte: 29/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory
... en cercle une seconde. Elles reviennent vers nous et cette fois c’est Carine qui vient à moi. Elle vient m’ausculter mais décide de me retirer ma chemise. Ce qui est un prétexte à quelques douces caresses. Mais ses mains continuent et descendent le long de mes jambes. Elle défait mes lacets, retire mes chaussures et mes chaussettes en me regardant coquinement. J’ai une vue plongeante sur ses seins et je peux voir une dentelle. Une dentelle bleu pétrole ! Comme lors du réveillon ! Donc Amandine doit avoir du blanc. Ce n’est pas les sous-vêtements que j’ai vu chez nous donc elles ont dû tout déposer ici en avance. Comme elle est accroupie, je vérifie entre ses jambes s’il y a une culotte ou un string. Mais la jupette me cache son entrejambe. Carine remonte ses mains le long de mes jambes, s’arrête sur ma ceinture mais elle repart en agitant ses fesses sous mes yeux. Le peu que je vois me fais penser à un string. Elles reviennent à la charge et c’est Liz qui s’approche. Elle se penche et sa lingerie peine à retenir ses très gros seins. Les femmes nous caressent un peu le ventre, le torse puis s’arrêtent et font la moue. Elles se penchent à nouveau et prennent nos mains pour les poser sur leurs poitrines. C’est très agréable mais c’est étrange, je ne sens pas vraiment de bonnet... — Oh putain, elles en ont, elles en ont ! s’exclame Olivier. Oui, des soutiens-gorge laissant les seins libres : mes préférés. Je passerais bien les mains dans la blouse mais Paul se fait ...
... reprendre par Sylvie. Nous avons néanmoins le droit de faire glisser nos mains le long de leur corps, jusqu’à leurs fesses. Je sens bien une ficelle de string et j’en suis ravi. Liz ne reste pas inactive et déboucle ma ceinture. Les pantalons sont déboutonnés et nous devons lever les fesses pour les laisser passer. Le chapiteau qui déforme nos boxers et caleçons en dit long. Nos femmes matent avec envie nos bosses mais poursuivent leur chorégraphie. Elles nous laissent en sous-vêtement et se remettent à danser langoureusement. Puis elles s’alignent face à nous et défont le bouton pression du haut de leur costume, ouvrant un peu plus le décolleté. Elles descendent leurs mains en se caressant le corps puis font sauter la pression du bas. Elles remontent lentement leurs mains, à ce rythme-là on n’a pas fini. Mais c’est diablement excitant. D’un coup, elles agrippent leurs blouses et les ouvrent en grand. Elles nous dévoilent alors leurs corps de femmes mûres. Leurs seins sont bien libres comme je le pensais. En bas, c’est bien un string assorti au soutien-gorge. Elles reviennent vers nous et Marie vient pour moi. Elle se plante devant moi, me laissant le temps de l’admirer. Je la détaille centimètre par centimètre en descendant mon regard. Son visage fier, ses seins les plus petits des femmes mais les plus fermes, son ventre plat, son string et ses lèvres en dépassant... Elles dépassent ? Je regarde mieux et je me rends compte que le string est fendu ! Mon sexe gonfle encore un ...