Travaux divers
Datte: 28/06/2023,
Catégories:
fh,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... que tu fais !
— Si tu savais à quel point c’est dur de résister !
Lentement mais sûrement, ma colonne de chair s’en va frotter un peu plus haut, mon mouvement étant de plus en plus ample, allant de ma base à mon gland. Mon but avéré est de venir titiller son clitoris. Voyant qu’elle ne dit rien, je me focalise sur le haut de sa fente, utilisant mon gland pour masser, pour caresser son petit bouton rose à travers le tissu et sa touffe.
Elle ferme les yeux, se mordant les lèvres, signe évident que je suis sur la bonne voie. Il ne me reste plus qu’à espérer que Ludovic ne descendra pas trop vite. Là-haut, l’eau ruisselle, et ici, Ophélie mouille, je reconnais son odeur, celle des strings qu’elle abandonnait négligemment dans les toilettes.
Enivré par l’odeur, j’écarte délicatement la bande avant du string afin de révéler sa belle touffe en plein jour. Ophélie ne bronche pas. Je constate avec plaisir que sa fente est entrouverte et luisante. Je continue ma caresse sur son clitoris devenu nettement plus accessible. Mon gland se charge de plus en plus de cyprine, et ça devient de plus en plus difficile pour moi, mais faisant un gros effort sur moi-même, j’arrive à faire baisser ma tension d’un cran.
Les yeux toujours fermés, la tête renversée, Ophélie gémit un peu…
De plus en plus, mon gland s’égare à l’orée de ses lèvres pour ensuite remonter taquiner, exacerber son petit bouton si sensible. Elle me laisse faire, les yeux toujours clos. Là-haut, l’eau coule ...
... toujours, c’est mon jour de chance !
Souhaitant passer à l’étape supérieure, je place mon gland à l’entrée de sa chatte, puis je le pousse un peu vers l’intérieur, sans forcer. Sa respiration s’accélère un peu. Délicatement, je me retire. Puis je recommence, mais cette fois-ci, mon gland disparaît dans sa fente. Sa respiration s’accélère encore un peu plus.
Ophélie garde toujours les yeux fermés, la bouche ouverte, son souffle se fait plus court. Je me retire légèrement pour mieux m’enfoncer plus loin. Elle frémit. Je recommence, une fois, deux fois, trois fois. Je suis à présent en elle, c’est si bon, c’est si chaud ! J’accélère mon pistonnage en elle, son souffle se transforme en gémissements, puis en petits cris étouffés.
Soudain, elle murmure d’une voix rauque :
— Espèce de petit salaud ! T’as été plus loin !
— J’en avais trop envie !
— N’empêche que t’es un salopard ! Allez, baise-moi ! Moi aussi, j’ai trop envie !
Nous avons franchi la frontière. À moi de faire en sorte que nous recommencions le plus souvent possible par la suite. Pour cela, il faut que je la fasse jouir. Je sens confusément qu’Ophélie est une chaudasse qui est mal tombée. Si elle est telle que je le devine, devenir son amant officiel sera un pur plaisir pour moi !
Mais en attendant des lendemains enchanteurs, au turbin !
Je caresse ses seins par-dessus le tissu, tandis que je la laboure, lui faisant sentir toute ma longueur. J’alterne les lentes introductions et les va-et-vient rapides. ...