1. Merveilleuse fin d'année


    Datte: 27/06/2023, Catégories: hh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Transexuels facial, Oral préservati, hsodo, sm, confession, gay Auteur: Peter260, Source: Revebebe

    ... l’espère.
    
    J’attrape ma salopette de travail et en dix secondes je suis habillé, car si c’est lui, il doit passer devant la vitrine, prendre la première rue à droite puis encore à droite pour arriver dans une cour intérieur où je dois l’attendre. Nous avons décidé d’un signe de reconnaissance, car si nous nous sommes vus nus, nos visages nous sont inconnus. Il m’appellera Pierrette et je lui répondrai Maître Jean.
    
    Un homme de taille moyenne sort du véhicule, il regarde autour de lui, semble jeter un coup d’œil sur une feuille, peut-être le plan que je lui ai donné ?
    
    Il traverse la rue, je le vois distinctement. Il a les cheveux gris, coupés courts. Son visage est plutôt joli, mais il a un air sévère. Mon cœur s’accélère, il passe devant moi sans me voir puis avec hésitation tourne à droite comme prévu.
    
    Cette fois c’est certain, c’est lui. Je me précipite à l’arrière du bâtiment, puis au moment d’ouvrir la porte de service, je décide finalement de le recevoir en nuisette. Je quitte donc ma salopette, j’ouvre avec beaucoup de prudence la porte de service. Je scrute les alentours, tout semble calme, mais de nombreux appartements sont encore éclairés et c’est le cœur battant la chamade que je m’avance au milieu de la cour obscure. Mes jambes tremblent, le voilà qui vient vers moi avec assurance, il me regarde et d’un air sec me dit :
    
    — Pierrette ?
    
    J’étais tétanisé, mais j’ai pu lui répondre d’une voix fluette :
    
    — Oui, c’est moi, Maître Jean !
    — Tu es ...
    ... sacrément gonflé de sortir comme ça !
    
    Je l’invite à me suivre et une fois à l’intérieur, je referme la porte à clef. Nous traversons le couloir sombre et nous voilà dans le bureau.
    
    — On ne risque pas de nous voir ? s’inquiéta-t-il.
    — Impossible, sauf si on allume.
    
    Il regarde une voiture passer, rassuré, il se retourne, me regarde de haut en bas, le spectacle semble lui plaire.
    
    — Tu es très belle comme ça, ma Pierrette, une vraie petite salope !
    — Merci, Maître Jean !
    
    Il me fait tournoyer, me malaxe les fesses puis il quitte sa veste, me la tend. Je la dépose délicatement sur le portemanteau. J’attrape sa main tendue, il me serre contre lui. Son parfum m’enivre, mais je suis pétrifié, ne sachant comment agir. Il s’amuse de mon embarras et me dit :
    
    — Alors, ma petite pute fait sa timide. Caresse-moi !
    
    Mes mains tremblantes s’aventurent sous son pull. Je me serre fort contre lui, ma bouche embrasse son cou pendant que mes doigts caressent son dos, sa nuque. J’effleure ses tétons, son nombril, il semble apprécier.
    
    — C’est bien, ma Pierrette, continue comme ça !
    
    Je n’ai qu’une envie, attraper sa queue. Donc, avec ma main droite, je défais son pantalon qui tombe à ses pieds alors que de la gauche je caresse ses fesses.
    
    — Agenouille-toi !
    
    J’obéis instantanément, je suis surexcité, j’embrasse son sexe à travers son slip, il sent bon. Une légère bosse se forme et le slip rejoint le pantalon.
    
    La voilà, elle est devant moi, j’ai tant rêvé de ce moment que ...
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