Le Pouvoir
Datte: 27/06/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bySalomeD, Source: Literotica
... voir ce qu'elle vaut?
- Avec plaisir.
- C'est quoi son prénom?
- La pute, ça lui suffit.
J'ordonne à ma femme, en usant de mon pouvoir, mais aussi à voix haute :
- A poils, la pute!
Pleurant doucement, terrorisée, ne voulant pas mais ne pouvant faire autrement, ma femme se déshabille. Vu qu'elle n'a que sa courte robe, c'est rapide. Son corps, marqué en entier par les coups de ceinture apparaît à la vue de mon ami. Il siffle: - -- Corps de première classe. Elle a quel âge? Trente ans?
- Non, trente-six.
- Bien conservée. Je peux la tester?
- Vas-y.
Il la fait se mettre à genoux, il lui enfonce son chibre dans la bouche. J'ai ordonné à ma femme de se laisser faire.
- Elle suce bien.
Je ne dis rien, souriant juste car je vois ma femme profondément humiliée en plus d'être dégoûtée de cette pipe forcé sur un inconnu. Au bout de quelques minutes, il sort de la bouche de ma femme. Il la fait s'allonger sur le bureau, cuisses écartées. Il la pénètre, elle cri.
- Pas d'enfant?
- Si, une fille.
- Pourtant elle est bien serrée. C'est bien.
Cette fois il va au bout, quand il se retire, je vois le sperme couler du sexe de ma femme, faisant une petite tâche sur le bureau. Il la lui fait nettoyer avec la langue. Ensuite il la fait s'appuyer sur le bureau, il l'encule méchamment. Elle hurle.
- Merde, elle a le cul vraiment serré, j'adore ta femme!
- Je l'ai dépucelée hier, elle n'a eut qu'une quinzaine de sodo depuis.
Il savoure ...
... l'anus de mon épouse, elle, à entendre ses hurlements et voir ses larmes couler, je peux affirmer qu'elle savoure moins. Là, encore il va jusque au bout. Quand il à jouit dans les entrailles de Céline, il la fait se mettre à genoux et nettoyer toutes les traces douteuses sur son pieu. Puis il se rhabille et me regarde :
- C'est de la bonne bourgeoise bien serrée. Elle est classe et pas putain. J'aime. Tu veux la vendre pour combien?
Céline me regarde, elle avance vers moi à quatre pattes, me regarde, suppliante :
- Pitié, pas ça...
Je la gifle.
- Ta gueule!
Je regarde mon ami :
- C'est cadeau, je veux juste des vidéos de ce qu'elle subit, de temps en temps.
- Pour les vidéos, pas de soucis, même si tu la vends. Elle vaut au moins trente ou quarante mille. Avec quinze ans de moins, on étaient dans les cent mille. Tu veux vraiment t'asseoir sur une telle somme?
- Oui, c'est pour les services que tu m'as rendus. Et pour ceux que tu pourrais me rendre encore.
- Merci mon pote. Tu veux la baiser une dernière fois pour faire tes adieux?
Je pense à la soirée qui m'attend. Je refuse et m'en vais. Je ne suis pas sortis, que déjà mon pote encule de nouveau ma femme. Jusque à sa mort, quelques années plus tard, elle ne vivra pratiquement pas sans une bite humaine ou animale dans le corps.
Je me rends chez Armelle. J'ai les clés. Elle est dans le salon, avec ma fille. Elles prennent un apéro avant de partir en boîte. Enfin, c'est ce qui était prévu. Ma ...