1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... répit, elle me pressa de m’allonger sur elle en me couvrant de caresses et ouvrit sa bouche. En nous embrassant tels deux sauvages, nous confondions nos respirations pour atteindre le sommet de notre complicité. Après avoir échangé un regard profond, les mots s’avéraient inutiles pour nous avouer l’amour que nous nous portions l’un à l’autre et ma verge, repue, baignait dorénavant dans sa chaleur intime, tandis que Véronique ne cachait pas sa béatitude en me souriant sans arrêt.
    
    Je m’étendis à ses côtés, haletant, transpirant. Ma grande blonde me serra la main et la porta sur son bas-ventre en mimant des cercles. A la recherche d’une tendresse particulière, elle se pencha sur moi en me balayant le front. Sans un mot, elle plongea à nouveau sa langue chaude dans mon palais et me roula une longue pelle. Visiblement très amoureuse, elle me dévisagea ouvertement et me fit un grand sourire en me chuchotant.
    
    — Hé bah... toi, tu sais comment me baiser (elle ne put résister et me fit un dernier smack) tu me connais par cœur, t’es un mec super, vraiment super. Me complimenta-t-elle essoufflée.
    
    — Je t’adore Véronique. Lui déclarai-je d’une voix calme.
    
    — Et moi, je t’aime (elle planta une fois encore ses yeux dans les miens et glissa sa langue chaude dans ma bouche) dis... t’as pas tort, je suis vraiment réceptive avec toi, c’est pas croyable et maintenant, on va penser à dormir. M’avoua-t-elle criante de sincérité.
    
    Vendredi
    
    Nous avions réussi à nous rendormir ...
    ... malgré tout.
    
    En prenant mon café, j’écoutais les infos quand ma quadragénaire arriva, en traînant le pas, les cheveux en bataille. Elle avait troqué sa veste de pyjama pour la traditionnelle robe de chambre. Elle vint me faire un smack et s’empara d’un bol dans le placard. Sans un mot, elle se versa du café et en mit à côté, ce qui l’agaça fortement.
    
    — Quelle conne ! (elle essuya avec l’éponge le liquide noir) ça va, tu as quand même bien dormi ?
    
    — Je suis un peu crevé et je vais y aller.
    
    — Evidemment que t’es crevé, avec ce qu’on a fait à quatre heures, c’est pas étonnant (je saisis le bout de sa ceinture en tirant dessus), mais qu’est-ce que tu fais ? Me demanda-t-elle tout en prenant une grande gorgée de café.
    
    Elle s’insurgea et encore un peu plus en me voyant entreprendre de lui ouvrir sa robe. Avec délicatesse, je soupesai la base de chacun de ses seins en les pressant un à un. En la prenant par la taille, elle manifesta son agacement en secouant la tête brièvement, mais consciente de mes intentions, elle entrouvrit néanmoins ses lèvres, lesquelles étaient encore imprégnées de café. Je la serrai contre moi et ce fut elle la première qui plongea sa langue exquise dans mon palais. J’avais délaissé ses seins bien chauds pour m’occuper de ses fesses, en les lui pelotant assidûment. Elle ne protesta pas et m’embrassa goulûment. J’aimais cette femme plus que tout et le lui fis savoir d’une manière directe.
    
    — Véronique, t’es séduisante du matin au soir, y a pas à ...
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